Alors que le risque climatique était une priorité, le géant de la finance américaine BlackRock, membre du Forum économique mondial, change de cap, craignant pour la rentabilité de ses clients. Cette décision soulève des questions sur la sincérité de l'engagement du capitalisme financier envers la cause écologique. Larry Fink, le PDG de BlackRock, qui est aussi un contributeur à l’Agenda 2030 du FEM, avait promis une transformation écologique du secteur financier dans sa lettre annuelle aux PDG des multinationales, déclarant que "le risque climatique est un risque d’investissement", et que “le changement climatique constitue désormais un facteur déterminant dans les perspectives de long terme des entreprises”.