Le magazine allemand Compact a été interdit par le gouvernement allemand. Ce mensuel a été accusé d'avoir des relations étroites avec le parti ultranationaliste AfD et de prôner la haine…
Dans une lettre adressée aux Français et publiée par plusieurs journaux régionaux, le contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron a appelé à la formation d'une "majorité solide" et "plurielle", trois jours après le second tour des élections législatives anticipées. Le Président de la République actuellement en déplacement à Washington pour un sommet de l'Otan, a souligné l'importance d'un dialogue sincère entre les forces politiques pour répondre aux attentes des électeurs et assurer la stabilité du pays.
Le président de la Métropole de Lyon, Bruno Bernard, a pris la parole ce lundi 24 juin, juste avant le conseil métropolitain, pour lancer un appel contre l'extrême-droite lors des élections législatives anticipées prévues les 30 juin et 7 juillet, annonçant qu'il soutiendra"tous les candidats en duel avec l'extrême droite"
Le 15 juin, un rassemblement inquiétant a eu lieu à Combres-sous-les-Côtes, dans la Meuse, où environ 250 à 300 néonazis ont participé au « Day of Glory », un tournoi clandestin de MMA. Ce rassemblement a attiré des militants d'extrême droite venant de France, d'Allemagne, du Benelux, d'Espagne, de Hongrie et de Bulgarie. Bien que la manifestation ait été annoncée sur les canaux Telegram dès janvier, les autorités présentes n'ont pas empêché l'événement de se dérouler selon, Médiapart.
À quelques jours des élections européennes, la sénatrice écologiste Mélanie Vogel a accusé le gouvernement français d'être directement responsable de la montée de l'extrême droite dans le pays. Lors de la séance des questions au gouvernement qui s'est déroulée au Sénat aujourd'hui, Vogel a critiqué l'exécutif pour ce qu'elle considère comme une stratégie délibérée visant à renforcer la position de l'extrême droite, une tactique qu'elle juge cynique et dangereuse pour la démocratie française.
Depuis plusieurs dizaines d’années, la Ville de Lyon abrite des groupuscules d’ultra-droite dont certains sont violents. Nombre de ces groupes ont été dissous par le ministère de l’intérieur et certains…
