Dans une tribune publiée ce jeudi dans Le Monde, Raphaël Glucksmann, leader de Place publique, et gendre du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Ghassan Salamé, exhorte à la construction d’une « plateforme minimale » entre les forces politiques ayant constitué le front républicain face à l’extrême droite lors des dernières élections législatives. Ce plaidoyer intervient peu après la démission de Michel Barnier.

Aux côtés d’Aurore Lalucq, eurodéputée, et d’Aurélien Rousseau, député et membre de Place publique, Glucksmann critique vivement les acteurs politiques incapables de compromis entre rivaux et adversaires. Il accuse ces divergences d’avoir fait perdre à la gauche des opportunités cruciales :

« Cela nous a fait perdre un temps précieux, à un moment en plus où la gauche pouvait profiter d’un rapport de force favorable pour imposer un certain nombre d’avancées pour l’ensemble des Français », écrit-il, visant implicitement La France insoumise.

Un appel au pragmatisme

Se positionnant comme une figure de la social-démocratie, Glucksmann prône une approche pragmatique. Il invite les forces politiques progressistes à dépasser les clivages internes et à s’unir autour de principes communs. Cette stratégie viserait à renforcer leur efficacité face à une extrême droite qu’il considère comme une menace persistante pour la démocratie.

À moins que le gendre du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Ghassan Salamé, se réjouisse de collaborer avec le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron.

Alors qu’il était en meeting à Lyon, le 1er mai dernier, nous lui avions demandé de nous expliquer ce qu’était un contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, mais il n’avait pas daigner répondre.