Le renversement du gouvernement de Michel Barnier, fils de franc-maçon, par une motion de censure historique, soutenue conjointement par le NFP et le RN, suscite des interrogations sur l’avenir du macronisme dans la presse étrangère proche du Forum économique mondial. Cet événements décrit comme un coup fatal à la stratégie du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Emmanuel Macron, par de nombreux médias internationaux proches du Forum. Et après ?
Le Corriere della Sera, par lequel sont pourtant passés de nombreux contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, comme Cristina Pozzi ou Francesco Daveri, n’hésite pas à déclarer que« Le macronisme est mort. » Il commente que pour la première fois, l’extrême gauche et l’extrême droite, historiquement opposées, ont uni leurs voix pour faire tomber un gouvernement. Selon El Mundo, appartenant à Unidad Editorial, filiale de Rizzoli qui publie le Corriere della Sera, cette situation illustre la rupture du “cordon sanitaire” traditionnellement destiné à contenir l’extrême droite. Selon le média espagnol, un nouveau front émerge en France : celui d’une opposition unie contre Emmanuel Macron, mettant en lumière la polarisation croissante de la scène politique française.
Une démocratie en crise ?
Pour le quotidien portugais Público, propriété de Sonae, groupe membre du Forum économique mondial, cette motion de censure symbolise une “crise de la démocratie”, où le radicalisme des extrêmes menace de prendre en otage les institutions. En parallèle, The Wall Street Journal, détenu par News Corp, groupe membre du FEM, avertit des conséquences économiques et politiques de cette instabilité, soulignant que la fragmentation du paysage politique risque de rendre la France ingouvernable.
Macron, “faible et acculé”
L’analyse des médias proches du FEM, convergent vers l’affaiblissement d’Emmanuel Macron. Le journal espagnol, El País, détenu par le Prisa, estime qu’il pourrait devenir le président du “déclin de la Ve République”. L’hebdomadaire britannique, The Economist, a dévoilé en avant-première la une de leur édition du 7 décembre, consacrée à la chute du gouvernement français. Le titre ? “Merde !” dans la languie de Molière, avec comme sous-titre : “La France plonge dans l’inconnu”. Nos confrères soulignent que la France n’a “pas de budget [pour 2025] et pas de gouvernement”.
Vers un départ anticipé ?
Certains médias proches du FEM évoquent l’hypothèse d’une démission d’Emmanuel Macron et l’organisation d’élections présidentielles anticipées. Une éventualité que le chef de l’État rejette fermement, bien que son impopularité record et l’absence de majorité à l’Assemblée remettent en question sa légitimité.
Une telle éventualité ferait à n’en pas manquer l’es beaux jours du Rassemblement National qui sort renforcé de cette censure s’étant présenté comme défenseur des intérêts de Français. De plus, suite au procès sur l’affaire des assistants parlementaires du FN, le parti s’est victimisé. Cette image de martyr de la politique pourrait également jouer en sa faveur.
