Hongrie : manifestations massives à Budapest contre une loi jugée liberticide
Manifestations à Budapest contre une loi menaçant médias et ONG, accusée de restreindre les libertés et de renforcer le pouvoir autoritaire d'Orbán.
Manifestations à Budapest contre une loi menaçant médias et ONG, accusée de restreindre les libertés et de renforcer le pouvoir autoritaire d'Orbán.
Le fossé se creuse entre le premier ministre hongrois et contributeur de l'agenda 2030 du Forum éoconomique mondial, Viktor Orban et ses homologues européens. Lors du Conseil européen du 20…
La décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’émettre un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien et contributeur el' agenda 2030 du Forum économique mondial, Benyamin Netanyahu, pour crimes de guerre et…
Lors du match de Ligue des Nations entre les Pays-Bas et la Hongrie, samedi 16 novembre, un incident dramatique a marqué les premières minutes de la rencontre. Un membre du…
Lors d'une rencontre à Luxembourg ce jeudi, le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a affirmé qu'il «n'écarte aucune solution a priori» concernant la possibilité de transférer des migrants dans…
Ce lundi 8 juillet 2024, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a débuté sa visite "surprise" et "officielle" en Chine. Le but de ce déplacement est d'améliorer ses relations avec Xi Jinping, mais aussi de discuter paix internationale avec cette grande puissance.
Le vendredi 5 juillet, le Premier ministre slovaque Robert Fico qui s'oppose à soutenir l'Ukraine et dénonce le "belicisme" des autres dirigeants européens a prononcé son premier discours public depuis l'attentat dont il a été victime le 15 mai dernier. Lors de cette intervention, il a salué l'initiative du premier ministre hongrois et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Viktor Orban, qui s'était rendu à Moscou le même jour, en dépit des objections des autres dirigeants de l'Union européenne.
Le journaliste américain a réalisé son entretien événement avec le président russe le 1er février au Kremlin. L'interview portait principalement sur la guerre en Ukraine, mais Vladimir Poutine a également évoqué sa relation avec la Chine, la situation mondial, appelant de ses voeux une nouvelle gouvernance mondial et un traité International pour réguler l'Intelligence Artificielle.
Les 27 Etats membres de l'Union européenne ont trouvé un accord sur une aide de 50 milliards d'euros sur quatre ans pour l'Ukraine ce jeudi 1er février, lors d'un sommet extraordinaire. La Hongrie du contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Viktor Orban a fini par céder. Il faut dire que Bruxelles avait élaborer une stratégie visant explicitement "à cibler les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre en péril sa monnaie et à provoquer un effondrement de la confiance des investisseurs dans le but de nuire à l'emploi et à la croissance si Budapest refuse de lever son veto contre l'aide à Kyiv", comme l'a révélé le Financial Times, ce jeudi.
En réponse au blocage par la Hongrie d'un nouveau fonds de soutien de 50 milliards d'euros destiné à l'Ukraine l'Union européenne envisage des mesures de rétorsion économique. Selon un rapport du Financial Times, affilié au Forum économique mondial, l'UE pourrait réduire les investissements en Hongrie et menacer la stabilité de sa monnaie, le forint, si Viktor Orban continue de s'opposer au financement de l'aide. Toutefois, la position de la Hongrie vis-à vis de l'aide Ukrainienne, n'est pas sans rappeler celle qu'elle avait adopté vis-à-vis de l'adhésion de la Suède à l'OTAN et le Premier ministre hongrois, qui est un contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, vient d'infléchir sa position à ce sujet.