La sénatrice communiste de la Loire, Cécile Cukierman et le sénateur LR de Haute-Loire, Laurent Duplomb, ont entamé un rapprochement inattendu contre le CETA, l'accord de libre échange entre l’Union européenne et le Canada sur des produits agricoles, que la chambre haute doit examiner.
Le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal a annoncé lundi que l'Ukraine n'avait pas reçu plus de 16 milliards d'euros d'aide promis par la Pologne et la Commission européenne. Ces fonds avaient été collectés lors de deux conférences de donateurs organisées à Varsovie en 2022, dans le contexte immédiat de l'invasion russe. La déclaration de Chmygal soulève des questions préoccupantes sur le devenir de ces fonds significatifs destinés à soutenir l'Ukraine face à l'agression russe, alors que l'UR vient de voter une nouvelle aide de 50 milliards d'euros.
Les députés transnistriens ont sollicité ce mercredi 28 février la Russie pour des "mesures de protection" face à ce qu'ils perçoivent comme une menace de la Moldavie et de l'Ukraine, alors que le contributeur du FEM, Volodymyr Zelensky, s'est entretenu à Tirana, en Albanie, avec la présidente moldave, Maïa Sandu. Celle-ci crie à la désinformation, tout comme la France, alors que les tensions sont à leur comble entre Paris et le Kremlin. Paris accuse en effet Moscou de déstabiliser le pays, ce qui n'est pas si évident. Explications.
Le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) a organisé une conférence à Paris sur le thème de la lutte des femmes contre le régime des mollahs, au cours de laquelle Maryam Radjavi, présidente du CNRI, a réaffirmé son engagement pour une démocratie laïque et l'égalité des sexes en Iran. Hamid Enayat, politologue reconnu proche du CNRI, et Hamid Assadollahi, membre du comité de soutien des droits de l'homme en Iran, ont décryptés dans les colonnes de Valeurs actuelles les enjeux de la résistance inranienne, réclamant la fin de la politique de "complaisance" de l'UE envers le régime iranien
Les Etats membres de l'Union européenne ont approuvé ce mercredi la décision de prolonger l'exemption des droits de douane pour les importations agricoles en provenance d'Ukraine. Cette mesure proposée au mois de janvier 2024, par la Commission européenne, présidée par la contributrice de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Ursula Von Der Leyen, afin de soutenir l'économie ukrainienne confrontée à la guerre, a été reconduite dès juin, malgré la montée de la colère et des inquiétudes parmi les agriculteurs européens.
L'actuelle présidente de la Commission européenne et contributrice de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Ursula von der Leyen, a annoncé ce lundi 19 février sa candidature pour un second mandat à la tête de l'organe exécutif de l'Union européenne, malgré les controverses qui l'entourent.
Cette semaine le chef de la diplomatie européenne et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Josep Borrell, a dénoncé l'hypocrisie des dirigeants mondiaux qui fournissent des armes à Israël tout en demandant moins de victimes. Dans la foulée, il s'est rendu à la Conférence de Munich sur la Sécurité, que certains surnomment le "Davos de La Défense", où il s'est d'ailleurs entretenu avec de nombreux contributeurs du FEM.
L'ancien président américain et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Donald Trump, a une fois de plus exprimé son mécontentement à l'égard des pays européens membres de l'OTAN pour leur insuffisance dans les dépenses de Défense. Trump est-il réellement hostile à l'alliance atlantique et à l'élite mondialiste ou joue-t-il le rôle d'idiot utile du FEM ?
L'Union européenne a donné son feu vert ce vendredi 2 février à l'IA Act, visant à réguler l'intelligence artificielle. Les 27 États membres de l'UE ont approuvé cette législation qui…
Les 27 Etats membres de l'Union européenne ont trouvé un accord sur une aide de 50 milliards d'euros sur quatre ans pour l'Ukraine ce jeudi 1er février, lors d'un sommet extraordinaire. La Hongrie du contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Viktor Orban a fini par céder. Il faut dire que Bruxelles avait élaborer une stratégie visant explicitement "à cibler les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre en péril sa monnaie et à provoquer un effondrement de la confiance des investisseurs dans le but de nuire à l'emploi et à la croissance si Budapest refuse de lever son veto contre l'aide à Kyiv", comme l'a révélé le Financial Times, ce jeudi.
