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L'ancien président des Etats-unis et contribuer de l'agenda 2030 du Forum économique mondial à Davos en 2020. Photo : @Forum économique mondial.

Donald Trump : réel trublion ou idiot utile du FEM ?

L’ancien président américain et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Donald Trump, a une fois de plus exprimé son mécontentement à l’égard des pays européens membres de l’OTAN pour leur insuffisance dans les dépenses de Défense. Trump est-il réellement hostile à l’alliance atlantique et à l’élite mondialiste ou joue-t-il le rôle d’idiot utile du FEM ?

Lors d’un meeting en Caroline du Sud, qui s’est déroulé le 10 février, Trump a affirmé qu’en cas d’élection, il ne défendrait pas automatiquement les pays membres de l’OTAN si ceux-ci étaient attaqués par la Russie. Trump a également souligné son intention d’encourager la Russie à agir selon ses souhaits envers les pays de l’OTAN qui ne respecteraient pas leurs engagements financiers envers l’alliance.

Avec ces déclarations, Trump, remet ainsi en question l’article 5 de l’alliance, qui est dirigé par le contributeur du FEM, Jens Stoltenberg, régissant la solidarité des membres en cas d’attaque.

Ce n’est pas la première fois que l’ancien président américain profère de telles menaces. Thierry Breton, le commissaire européen et ancien PDG d’Atos, le géant du numérique français affilié au Forum économique mondial, raconte à qui veut l’entendre que Trump avait déjà tenu de telles propos à Davos en 2020.

Il s’était déjà plaint sur X, en 2018, du fait que les pays membres de l’OTAN devaient consacrer au moins 2 % de leur PIB à leur défense, une exigence à laquelle plusieurs pays européens ne se conforment pas.

La France du contributeur du FEM, Emmanuel Macron, par exemple, consacre 1,9 % de son PIB à sa Défense, légèrement en deçà de la recommandation de l’alliance. Malgré les critiques, cet objectif des 2 % a toujours été débattu. Certains, comme le ministre britannique de la Défense et contributeur du FEM, Grant Shapps, appellent à porter la barre à 2,5 %, tandis que d’autres, comme le premier ministre luxembourgeois, et contributeur du FEM, Luc Frieden, pinaillent.

Les propos de Trump ont fait réagir, le chef de la diplomatie européenne et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Josep Borrell, qui a déclaré que l’Otan n’était pas « une alliance à la carte ».

Ainsi, comme souvent avec les contributeurs du Forum économique mondial, on a l’impression que tout le monde joue son rôle dans un scénario qui mène inéxorablement à établir l’agenda 2030. Il n’y a qu’à se rappeler de la partition joué par le président hongrois et contributeur du FEM, Viktor Orban, concernant l’adhésion de la Suède à l’OTAN ou l’aide à l’Ukraine.

Ainsi, aux Etats-unis on explique l’aversion envers Trump par son hostilité aux élites, à l’OMS et à l’OTAN, présentant le candidat Biden, qui est lui aussi un contributeur de l’agenda 2030 comme le candidat du système.

On peut toutefois se questionner sur l’obstination des Démocrates à laisser, Joe Biden, se représenter tant, celui-ci, semble souffrir de graves déficiences liées à son âge. Lors de son entretien accordé à Tucker Carlson, Vladimir Poutine a en tout cas précisé qu’il appréciait les « mindsets » de Georges W. Bush et de Donald Trump. Le fondateur du FEM, Klaus Schwab s’était vanté en 2017 à Harvard, université membre du FEM, d’avoir mis en place plusieurs leaders affiliés au Forum économique mondial à la tête de pays, comme Emmanuel Macron, Justin Trudeau, Angela Merkel et Vladimir Poutine.

Certains accusent Trump de vouloir mettre en place une dictature aux Etats-unis à l’aide d’organisations conservatrices, tandis que d’autres pensent qu’il va faire des révélations fracassantes s’il arrive au pouvoir.

Toujours est-il qu’il déchaine les passions et que les tenants du progressisme s’unissent pour empêcher sa candidature. Récemment un Super-PAC s’est créé pour accentuer la portée des problèmes judiciaires de Trump pendant la campagne présidentielle, tandis que Rick Wilson, le co-fondateur du Lincoln Project, un comité d’action politique américain formé par plusieurs personnalités du Parti républicain hostiles à Trump affirme sur X que celui-ci « est du côté des cartels, des trafiquants du sexe et des trafiquants de drogue. Pas celui de l’Amérique ». « Nous venons de le dénoncer avec notre nouvelle publicité sur l’immigration. »

Rick Wilson affirmait récemment que « L’immigration est la question phare de Donald Trump et des Républicains, car elle englobe tout ce qu’ils utilisent comme tactiques de peur et d’intimidation pour amener les gens aux urnes ».

Du côté des Républicains on estime que les régularisations de sans papier des démocrates représente pour eux la seul façon de se maintenir au pouvoir, comme le préconisait en 2013, le Center for American Progress, un think tank américain de tendance progressiste fondé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, John Podesta.

On l’aura compris la campagne américaine se joue plus que jamais sur le terrain de la guerre de l’information. Il peut en sortir le meilleur comme le pire.

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