Dans un tweet publié récemment, le professeur Didier Raoult, a affirmé avoir identifié la présence d’ADN dans le vaccin Pfizer contre le COVID-19. Cette déclaration, accompagnée de critiques envers les agences de santé et l’industrie pharmaceutique, relance les débats sur la transparence et la régulation des vaccins.
Le professeur Raoult a annoncé avoir mis en ligne une étude génétique sur les vaccins anti-COVID-19, affirmant qu’il est « impossible de publier dans les journaux scientifiques mainstream », qu’il accuse d’appartenir « en partie aux mêmes actionnaires de l’industrie pharmaceutique », comme BlackRock et Vanguard, également proches du Forum économique mondial.
Selon lui, cette analyse confirme les résultats d’autres équipes scientifiques qui ont détecté des fragments d’ADN viral et de plasmides bactériens dans les vaccins Pfizer, groupe membre du FEM. Il estime que ces éléments ont été injectés aux personnes vaccinées, soulevant des questions sur les tests et la régulation de ces produits avant leur mise sur le marché.
Critique des autorités sanitaires
Didier Raoult cible particulièrement l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), accusée de ne pas avoir vérifié la composition des vaccins avant leur recommandation. Il critique également les traitements comme le Paxlovid et le Remdesivir, jugés inefficaces ou inadaptés, et s’interroge sur les raisons qui ont conduit à discréditer l’hydroxychloroquine, un médicament ancien qu’il a largement défendu durant la pandémie, dont la « toxicité est passée inaperçue pendant 65 ans », commente-t-il ironiquement.
Un appel à une enquête parlementaire
Dans son tweet, le professeur Raoult appelle à une enquête parlementaire similaire à celles menées aux États-Unis. Il demande une analyse approfondie des responsabilités des ministres de la Santé, de l’Ordre des médecins, ainsi que des dirigeants de l’ANSM, notamment Madame Ratignier et Mathieu Molimard, qu’il accuse de conflits d’intérêts.