Lors de son intervention aujourd’hui à L’Heure des Pros sur CNEWS, le professeur Didier Raoult a critiqué la composition des vaccins Pfizer, mettant en cause les autorités de régulation, comme la FDA aux États-Unis et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France. Il a notamment évoqué la présence de quantités importantes d’ADN dans ces vaccins, une révélation qui pourrait soulever des questions sur les processus de fabrication et de contrôle.
Selon Didier Raoult, Pfizer avait affirmé que les vaccins contenaient uniquement de l’ARN manipulé et « aucun ADN ». Cependant, le professeur a déclaré :
« Il y a une quantité d’ADN dans ces vaccins qui est considérable. Et nous, on l’a mesurée aussi. La quantité est énorme. »
Il a expliqué que l’ARN utilisé dans les vaccins est produit à partir de bactéries dans lesquelles un mini-chromosome est inséré. Ce processus nécessitait une double purification : éliminer le mini-chromosome utilisé pour la production et retirer l’ADN résiduel issu de ce processus.
Raoult affirme que ces étapes n’auraient pas été correctement réalisées, laissant des quantités importantes d’ADN dans les doses administrées au public.
Un contrôle insuffisant des autorités de régulation
Le professeur a également critiqué les organismes de régulation tels que la FDA, l’ANSM en France, et l’EMA en Europe. Selon lui, ces institutions ont pour rôle de garantir la pureté et la conformité des substances injectées chez les individus, mais elles auraient failli à leur mission dans le cas des vaccins à ARN.
« Ces organismes doivent garantir le contenu de ce que vous injectez chez les gens. »
Un lien entre vaccin contre le Covid-19 et lymphome
Répondant à une question de Pascal Praud, sur les lymphomes, le professeur Raoult a expliquer que « cela correspond au mécanisme de devellopement des lymphomes : injecter de l’ADN dans les ganglions ». Le plus grand oncologue Japonais, le Dr Masanori Fukushima, vient d’attirer l’attention sur un phénomène inquiétant qu’il qualifie de « turbo-cancers ».