L’ex-DRH Chantal Gaemperle, a bien reçu son insigne de chevalier de la Légion d’Honneur. Toutefois, d’après La Lettre, le président Français et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, aurait demander l’aval de Bernard Arnault, patron du groupe LVMH, membre du FEM.

Bernard Arnault avait mis à pied Chantal Gaemperle, directrice des ressources humaines du groupe depuis près de 20 ans, en vue d’un licenciement pour faute grave. Cette éviction survient alors que LVMH procède à un renouvellement massif de son équipe dirigeante, anticipant la succession d’Arnault.

Bien que la raison exacte de la mise à pied ne soit pas précisée, certains médias dont La Lettre ont évoqué un changement générationnel au sein de la gouvernance, avec une nouvelle dynamique influencée par les enfants d’Arnault.

Face à cette perte de soutien et aux défis internes, Gaemperle aurait cherché se rapprocher de la femme de Bernard Arnault, Hélène Mercier-Arnault, et de Brigitte Macron. Toutefois, alors qu’elle avait été admise au grade de chevalier de la Légion d’honneur le 29 décembre dernier, au moment même où Bernard Arnault était fait grand-croix, le PDG de LVMH a reçu sa distinction des mains du président le 13 mars, tandis que Chantal Gaemperle attendait toujours.

La Lettre a annoncé le 3 décembre dernier que Chantal Gaemperle a finalement bien  » reçu son insigne de chevalier de la Légion d’honneur à l’Élysée « .  » Emmanuel Macron a toutefois pris soin de demander l’aval de Bernard Arnault avant d’épingler. «