Dans le sillage de la censure partielle par le Conseil constitutionnel de la loi sur l'immigration, le président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, s'est exprimé contre les critiques émanant principalement de la droite et de l'extrême droite française. La décision, qui a invalidé près de 40% du texte, a été qualifiée de "hold-up démocratique" par Eric Ciotti, président des Républicains (LR), tandis que Laurent Wauquiez a évoqué un "coup d'État de droit", provoquant un débat houleux sur le rôle et l'autorité du Conseil constitutionnel dans le paysage politique français. Il n'a pas précisé qu'il était un contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial.