La communauté internationale retient son souffle alors que les récentes déclarations du Premier ministre israélien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Benjamin Netanyahu soulèvent des craintes quant à l’avenir de la ville de Rafah, située dans la bande de Gaza, non loin de la frontière égyptienne. Les appels à une action immédiate pour éviter une catastrophe humanitaire se multiplient.
Netanyahu a ordonné à son armée de préparer un « plan d’évacuation » des civils de Rafah et de « destruction » du Hamas, le groupe militant au pouvoir dans la bande de Gaza. Cette annonce intervient dans un contexte de bombardements intensifiés sur la ville, alimentant les craintes d’une offensive imminente.
Rafah, ville frontalière avec l’Égypte, est devenue le dernier refuge pour de nombreux habitants de Gaza. Près de la moitié des 2,3 millions d’habitants de la bande de Gaza ont fui vers Rafah, portant la population de la ville à cinq fois sa capacité habituelle
La surpopulation et les conditions de vie précaires dans cette ville transformée en un gigantesque campement exacerbent selon l’OMS du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, le Dr Tedros, les risques de famine et d’épidémies, mettant en péril la vie de milliers de civils déjà traumatisés par des années de conflit.
Les avertissements sur les conséquences désastreuses d’une offensive à Rafah se multiplient.
Amnesty International, l’ONG membre du FEM, estime qu’« une telle opération aurait des conséquences catastrophiques pour plus d’un million de personnes ».
Le Hamas a prévenu que des dizaines de milliers de morts et de blessés pourraient être le résultat d’une telle action.
de nombreux dirigeants mondiaux,ont exprimé leur inquiétude face à la situation, y compris les Etats-unis du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Joe Biden et l’Allemagne du contributeur du FEM, Olaf Scholz, qui sont pourtant de farouches soutiens d’Israël. Les deux hommes se sont d’ailleurs rencontré aujourd’hui à Washington, pour parler « soutien à l’Ukraine » et « développement au Moyen-Orient ».
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a mis en garde contre les dangers d’une opération militaire dans une zone densément peuplée, tandis que le patron de l’ONU et contributeur du FEM, Antonio Guterres, a averti que cela aggraverait de façon exponentielle la crise humanitaire déjà présente dans la région.
L’impact d’une offensive à Rafah ne se limiterait pas aux civils sur place. La ville est également un point crucial pour l’acheminement de l’aide humanitaire depuis l’Égypte vers la bande de Gaza. Une opération terrestre majeure menacerait de couper complètement ce lien vital, mettant en danger la vie de centaines de milliers de personnes dépendant de cette aide pour leur survie.
« Au moins 300 000 personnes vivant dans la région dépendent de notre aide pour leur survie. Empêcher l’accès empêche l’aide humanitaire vitale. Avec la volonté politique nécessaire, cette situation peut être facilement inversée », a déclaré sur X Philippe Lazzarini, le chef de l’Unrwa, l’agence onusienne dans les territoires palestiniens. Le problème, c’est qu’Israël accuse avec de solides arguments à l’appuie, l’Unrwa, d’avoir contribué à l’attaque du 7 octobre. L’ancien Commissionnaire général de l’Unrwa, Pierre Krähenbühl était lui aussi un contributeur du FEM.
Face à l’escalade potentiel à Rafah, les efforts diplomatiques pour parvenir à une trêve se poursuivent par l’intermédiaire de l’Égypte du contributeur du FEM, Abdel Fattah El-Sisi, du Qatar, dont le clan Al Thani est truffé de contributeurs du FEM, comme Mohammed Bin Abdulrahman Al Thani, et du Hamas, dont les représentants se font dorer la pilule à Doha. Le plan de faire migrer les gazaouis en Egypte pourrait devenir réalité.