La maire de Paris et contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Anne Hidalgo, a honoré sa promesse tant attendue en se baignant dans la Seine ce mercredi matin, marquant un moment symbolique à l’approche des Jeux Olympiques de Paris 2024. Vêtue d’une combinaison et de lunettes de nage, Hidalgo s’est immergée depuis un ponton spécialement installé sur le bras Marie.
Près de 40 ans après la promesse de campagne de Jacques Chirac, non tenue, la maire de Paris, s’est plongée dans la Seine pour démontrer que le fleuve est désormais baignable, à seulement neuf jours des Jeux Olympiques de Paris 2024. Elle était accompagnée de Tony Estanguet et Pierre Rabadan.
Peu avant 10h, Anne Hidalgo a prudemment descendu le ponton pour entrer dans l’eau, effectuant quelques brasses, la planche et des mouvements de crawl avant de rejoindre un autre ponton un peu plus loin.
Entourée de journalistes, dont certains venus de l’étranger, la maire a participé à une séance photo dans l’eau, comme en témoigne le tweet de la journaliste Elisabeth Philippe, soulignant l’importance de cet événement.
Un message aux Athlètes et au monde
Cette baignade vise à démontrer que la Seine est désormais baignable, notamment pour les épreuves de nage en eau libre, de triathlon et de paratriathlon des Jeux Olympiques. Ce plongeon symbolique est le résultat de travaux coûteux d’un montant de 1,4 milliard d’euros entrepris pour assainir le fleuve, assurant sa sécurité pour les athlètes et le public.
Défis Environnementaux et solutions
La qualité de l’eau de la Seine est évaluée principalement par la concentration de deux bactéries indicatrices de contamination fécale : Escherichia coli et les entérocoques. Récemment, les fortes précipitations ont causé une augmentation de ces bactéries, mais des ouvrages de rétention récemment inaugurés permettent de limiter ce phénomène en séparant les eaux pluviales des eaux usées. Les autorités se veulent optimistes tandis que Médiapart a publié une enquête samedi révélant que rien ne garantit encore le maintien des compétitions sportives lors des JO.
L’élite mondialiste souhaite-t-elle rendre les fleuves baignables ?
Anne Hidalgo avait invité le président et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, à se joindre à elle pour cette baignade. Bien qu’il ait décliné l’offre pour l’instant, son entourage indique qu’il pourrait encore se jeter à l’eau dans un futur proche. La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, avait déjà franchi le pas en se baignant dans la Seine le 13 juillet, suscitant une vive attention médiatique et des critiques sur les réseaux sociaux.
Le fait qu’Amélie Oudéa-Castéra soit passée par le programme Young Leader de la Fondation France-Amérique fondée par les présidents Ford et VGE, tous deux membres du groupe Bilderberg, renforce l’idée que les élites mondialistes veulent rendre les fleuves baignables.
D’autant plus qu’après son « exploit », Anne Hidalgo a cité Nelson Mandela, un autre contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, qui affirmait « cela paraît toujours impossible jusqu’à ce qu’on le fasse ».
Suite à la baignade de la maire de Paris, la Journaliste Melissa Bell, de CNN, s’est également jeté à l’eau. « Ce n’est pas très propre mais on peut y nager », a-t-elle déclaré, comme en témoigne le tweet de Julien Tan, du service communication du média américain, dont les principaux actionnaires sont The Vanguard Group (7.55 %), BlackRock (6.58 %), les fonds de pensions américains interconnectés et proches du FEM, puisque le second en fait partie.