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Le président Français et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron.

Les Français estiment que la responsabilité de la dette publique incombe au gouvernement

Un récent sondage exclusif mené par Ipsos, l’Institut de sondage membre du Forum économique mondial pour « La Tribune » de Rodolphe Saadé, patron de CMA CGM, l’entreprise de transport maritime affiliée au FEM, fondée par le contributeur du FEM, Jacques Saadé, révèle que les Français seraient peu enclins à payer davantage d’impôts pour réduire les déficits. Ils estiment en effet que la responsabilité de la dette publique incombe à certains gouvernements.

L’une des conclusions les plus marquantes de cette enquête est, en effet, que les Français sont peu enclins à supporter davantage de charges fiscales pour réduire les déficits publics. Cela soulève la question de la répartition des efforts nécessaires pour redresser les comptes du pays. Alors que 93 % des personnes interrogées estiment que la réduction des déficits doit être une priorité gouvernementale, une résistance significative est observée concernant les hausses d’impôts.

Les données montrent que les Français préfèrent une réduction des dépenses publiques plutôt qu’une augmentation des impôts. Cependant, cette préférence s’effrite lorsqu’il s’agit de toucher aux domaines essentiels tels que la santé, l’éducation et les prestations sociales. Seuls 40 % des répondants opteraient pour une hausse de la TVA, de la CSG ou de l’impôt sur le revenu dans ces circonstances.

Un aspect notable de ce sondage est la perception de la responsabilité de l’endettement public. Les gouvernements successifs sont largement jugés comme étant les principaux responsables de cette situation.

Suite à l’exhumation par L’Obs, propriété entre autres de Xavier Niel, gendre de Bernard Arnault, d’une enquête commandée par Les Républicains à l’Institut de sondage Ipsos, révélant qu’en cas d’élections législatives anticipées, le Rassemblement National aurait la majorité à l’Assemblée nationale pendant le débat sur l’immigration, l’Institut de sondage proche du FEM agite une nouvelle fois l’épouvantail du Rassemblement national, en rapportant qu’un Français sur trois estimerait que ce parti serait le plus à même de combler le déficit public.

La semaine dernière, un sondage mené par Elabe, pour Les Échos de Bernard Arnault, membre du groupe Bilderberg et propriétaire de LVMH, le groupe de luxe affilié au FEM, et pour l’Institut Montaigne, présidé par Henri de Castries, qui préside également le groupe Bilderberg, rapportait que quatre Français sur cinq estimaient qu’il est urgent de réduire la dette.

La dette publique s’est accentuée lors du « quoi qu’il en coûte » mis en place par le contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Emmanuel Macron, et a été interrompue suite aux recommandations du contributeur du FEM, Pierre Moscovici, ayant finalement profité aux plus riches, comme en témoigne l’envolée de la fortune de Bernard Arnault, ou les valorisations des grandes entreprises françaises du CAC 40 qui atteignent des records. Ainsi, malgré l’influence des lobbys, les Français ne sont pas dupes et ne veulent pas payer l’addition alors que le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Bruno Le Maire, a annoncé un tour de vis budgétaire, tandis qu’Emmanuel Macron a promis un nouveau « quoi qu’il en coûte » à Davos pour financer l’innovation de la 4e Révolution Industrielle, chère à Klaus Schwab, le fondateur du FEM et ancien membre du comité de direction du groupe Bilderberg.

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