La Centrale d’Achat du Numérique et des Télécoms (CANUT) a annoncé le 18 novembre par communiqué son partenariat avec le groupement Onepoint, Atos et Eviden pour accélérer l’adoption de l’intelligence artificielle (IA) dans les services publics en France. Ce choix vise à moderniser les pratiques administratives et renforcer l’efficacité des organismes publics, tout en respectant les standards de souveraineté numérique.

La CANUT est une association à but non lucratif dédiée aux collectivités territoriales et aux bailleurs sociaux, offrant des marchés publics simplifiés pour répondre aux besoins numériques et télécoms des établissements publics et privés à but non lucratif. Créée à Lyon par une trentaine de départements, dont la Meurthe-et-Moselle et les Hautes-Alpes, elle propose des accords-cadres clé en main garantissant des conditions d’achat avantageuses, tout en respectant le Code de la commande publique.

Le choix de Onepoint, Atos et Eviden

En tant que mandataire du projet, Onepoint, cabinet de conseil en trahison numérique des entreprises et des acteurs publics fondée par David Layani, proche des contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy, en collaboration avec Atos, le géant informatique Français membre du FEM et Eviden, sa filiale spécialisée dans le numérique, le cloud computing, les big data et la cybersécurité, accompagnera les acteurs publics dans deux grands axes : la formation aux technologies d’IA et les audits stratégiques sur les usages et applications de cette technologie. Ce partenariat vise à sensibiliser les agents publics aux opportunités offertes par l’IA, tout en leur permettant de libérer du temps pour des missions stratégiques grâce à l’automatisation de tâches chronophages, telles que la synthèse de documents administratifs.

La satisfaction d’Aude Devaux, Partner Service Public chez Onepoint

Selon Aude Devaux, ce contrat est une opportunité unique de contribuer à l’efficacité de l’action publique et elle sait de quoi elle parle, puisqu’elle es passée par Arthur Andersen, cabinet d’audit par lequelle sont passés de nombreux contributeurs du FEM, tels que Marco Bizzarri, ou Hilde Merete Aasheim. Elle a ensuite rejoint Ernst & Young, avant de rallier Steria Consulting, du groupe Stéria, dont l’un des principaux actionnaires est la BNP Paribas, membre du FEM, puis Atos Consulting,