You are currently viewing Inde-Pakistan : l’escalade militaire ravive le spectre de la guerre au Cachemire
Image : ChatGPT X X-Pression média.

Inde-Pakistan : l’escalade militaire ravive le spectre de la guerre au Cachemire

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:MONDE
  • Commentaires de la publication :0 commentaire

La tension entre New Delhi et Islamabad a franchi un nouveau seuil critique. Le jeudi 8 mai, après une série de frappes de drones menées par l’Inde contre des camps terroristes situés au Pendjab pakistanais, l’armée pakistanaise a riposté par des tirs de missiles et d’artillerie visant le Cachemire indien. La zone frontalière s’est embrasée, menaçant la région d’un conflit ouvert entre deux puissances nucléaires.

L’opération indienne, baptisée « Sindoor », visait neuf camps appartenant à des groupes terroristes comme Jaish-e-MohammedLashkar-e-Toiba et Hizbul Mujahideen. L’attaque, présentée comme « proportionnée » et « non escalatoire », a été suivie d’une réplique pakistanaise dans la nuit du 8 au 9 mai, visant les villes de JammuPathankotUdhampur et Jalandhar.

En réponse, l’Inde du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Narendra Modi a imposé un black-out sécuritaire dans plusieurs États frontaliers (Cachemire, Pendjab, Rajasthan, Gujarat). Les sirènes ont retenti, les écoles ont été fermées et les congés des forces de l’ordre suspendus.

Guerre aérienne et premières pertes annoncées

L’Inde aurait utilisé des drones israéliens Harop pour frapper un site militaire stratégique à Lahore, tandis que le Pakistan de Shehbaz Sharif, frère de l’ancien premier ministre et contributeur du FEM, Muhammad Nawaz Sharif, aurait, selon des sources américaines, abattu au moins deux avions indiens, dont potentiellement un Rafale, avec un chasseur chinois J-10C. Ce serait une première dans l’histoire des combats aériens impliquant ces appareils.

Guerre de l’information et propagande croisée

Les deux gouvernements s’accusent mutuellement d’agressions non provoquées. New Delhi a bloqué plus de 8 000 comptes sur le réseau X, y compris ceux de médias internationaux, alors que certains sites pakistanais sont inaccessibles depuis l’Inde.

Pendant ce temps, le porte-parole de l’armée pakistanaise a affirmé que 25 drones indiens avaient été abattus, promettant que « New Delhi paiera cher cette agression ».

L’ombre de Pékin, l’absence de Washington

Alors que la Chine du contributeur du FEM, Xi Jinping renforce son soutien militaire au Pakistan, notamment via les J-10C et des investissements massifs au Cachemire, les États-Unis, par la voix de J. D. Vance, membre du groupe Bilderberg ont adopté une posture de non-intervention, se contentant d’appels à la désescalade.

Cette évolution traduit un changement de paradigme stratégique : la médiation américaine, autrefois décisive, laisse place à une influence croissante de Pékin dans les dynamiques sud-asiatiques.

Un retour en arrière stratégique ?

L’éditorial du quotidien pakistanais Dawn appelle les deux États à « stopper la marche vers la guerre ». En Inde, le journal The Hindu avertit : l’extension des frappes au-delà des cibles terroristes risque de précipiter la région dans un conflit ingérable.

Pendant ce temps, des villages comme UriPoonch ou Kupwara sont évacués, Srinagar plongée dans le noir et Jammu ciblée par des frappes. Le sous-continent semble entré dans une zone de péril, où chaque décision militaire pourrait devenir irréversible.

Source : Le Monde.

Laisser un commentaire