Dans un tweet publié hier, François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), accuse Alex Soros, président de la Fondation Open Society fondée par son paternel, George Soros, membre du Forum économique mondial et Bernard-Henri Lévy (BHL), lui aussi contributeur du FEM, de se réjouir de l’escalade militaire entre l’Ukraine et la Russie. Le dirigeant politique s’indigne du soutien présumé de ces deux figures à la décision du président américain Joe Biden d’autoriser l’utilisation de missiles longue portée par l’Ukraine.
Le tweet d’Asselineau fait écho à l’annonce controversée des contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden, permettant à Volodymyr Zelensky, président de l’Ukraine et membre du FEM, lui aussi, de déployer des missiles longue portée sur le territoire russe. Cette décision, qualifiée par Asselineau de « possible 3e guerre mondiale », suscite des inquiétudes au sein de l’opinion publique et des sphères politiques internationales.
Soros et BHL dans le viseur
François Asselineau pointe particulièrement du doigt ces deux personnalités. Le premier a réagi à un article du Wall Street Journal annonçait le feu vert de Biden en réagissant par « C’est une bonne nouvelle ! ». Asselineau souligne que Soros aurait récemment été reçu par Emmanuel Macron le 11 novembre, ce qui nourrit les interrogations sur l’alignement des politiques françaises et américaines dans ce conflit.
Le second, Bernard-Henri Lévy (BHL), intellectuel et philosophe, aurait déclaré être « ému aux larmes de gratitude » en apprenant cette nouvelle. BHL, invité par Emmanuel Macron au Maroc, est connu pour son soutien à la cause ukrainienne et son engagement discutable dans des crises internationales.
Une critique du rôle de la France
Dans son tweet, Asselineau semble également critiquer le rôle de la France dans cette escalade militaire. En mentionnant la réception de Soros et l’invitation de BHL par Macron, il sous-entend une complicité de l’Élysée dans le soutien à des décisions qu’il juge dangereuses pour la stabilité mondiale.
Une troisième guerre mondiale en ligne de mire ?
La crainte exprimée par François Asselineau reflète un sentiment partagé par certains analystes, comme en témoigne par exemple les émission Infowar d’Alex Jones, aux Etats-unis ou même de médias mainstream en France.. L’intensification des tensions en Ukraine, avec l’utilisation potentielle de missiles longue portée, risque de provoquer une escalade encore plus importante, rapprochant le monde d’un conflit global.
Le débat est ouvert : cette décision vise-t-elle réellement à protéger la souveraineté ukrainienne ou au contraire à aggraver une crise déjà complexe ?
