Le secrétaire général de l’OTAN et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Jens Stoltenberg, a estimé le 27 mai que les pays qui fournissent des armes à l’Ukraine ne devraient plus restreindre l’utilisation de celles-ci au seul théâtre de guerre ukrainien. Des dirigeants européens, comme le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, ou le ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, suivis par l’Allemagne du contributeur du FEM, Olaf Scholz, et même les États-Unis de Joe Biden, lui aussi contributeur du Forum, lui ont emboîté le pas. Pourtant, Vladimir Poutine a lancé un “ultimatum” le 28 mai affirmant qu’ils jouaient “avec le feu”.
“Lorsque je l’ai connu en tant que Premier ministre de la Norvège, Jens Stoltenberg ne semblait pas atteint de démence”, a commenté le 28 mai, Vladimir Poutine, alors qu’il était en voyage en Ouzbékistan, en réponse aux déclaration du secrétaire général de l’OTAN, qui est membre du groupe Bilderberg, comme son père Thorvald Stoltenberg, avait lui. Selon la base de donnée établie par l’universitaire Allemand, Aleksander Zielinsky, il a participé aux réunions de 2002, 2015 et 2017.
Le président russe a mis en garde contre l’utilisation d’armes occidentales visant le sol russe. Poutine a précisé que ces frappes ne pourraient se faire sans l’aide des satellites de reconnaissance et sans des programmeurs qualifiés de l’OTAN et que l’alliance transatlantique sera tenue responsable de ces frappes, et non les Ukrainiens. Il a souligné le risque de « conséquences graves ». »En Europe, en particulier dans les petits pays, ils doivent réfléchir à ce avec quoi ils jouent. Ils doivent se souvenir qu’ils sont bien souvent des États ayant un petit territoire et une population très dense. »
Selon les médias russes, donner le feu vert aux Ukrainiens pour qu’ils puissent frapper la Russie avec leurs nouvelles armes occidentales s’apparente à un Cassus belli. Il s’agit d’une pente d’autant plus glissante, que le 27 avril dernier, des lance missiles nucléaires balistiques intercontinentaux circulaient dans les rues de Moscou, avant les célébrations du Jour de la victoire, qui célèbre chaque 9 mai, la victoire soviétique sur l’Allemagne nazie.
Cela n’a toutefois pas empêché, le ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, de suggérer que la Pologne pourrait envoyer des troupes en Ukraine, pays dirigé par le contributeur du FEM, Zelensky, en maintenant une ambiguïté stratégique sur cette possibilité.
Emmanuel Macron a déclaré le même jour qu’il était crucial de permettre à l’Ukraine de « neutraliser les bases militaires d’où la Russie tire ses missiles ».
Le lendemain, le journal russe, Komsomolskaïa Pravda, affirmait qu’“Emmanuel Macron et ses semblables n’ont visiblement pas entendu les avertissements russes ». « Le compte à rebours a commencé”.
Le président français était déjà sous le feu des critiques de la presse officielle après avoir affirmé qu’il n’excluait pas d’envoyer des troupes au sol pour soutenir l’armée ukrainienne, même si les autorités russes affirment depuis longtemps, que des militaires fFançais sont déjà présents sur le théâtre des opérations. Lundi, Kiev a annoncé que des instructeurs français se rendraient « prochainement » en Ukraine pour former les troupes ukrainiennes. Cependant, peu après, les autorités ukrainiennes ont fait marche arrière, précisant qu’elles étaient toujours « en discussion avec la France et d’autres pays sur cette question ». Le lendemain, Poutine a répété que les instructeurs sont déjà présents en Ukraine «sous l’apparence de mercenaires ».
Le débat sur l’envoi d’instructeurs militaires en Ukraine a encore plus attisé les braises, même si l »Union européenne est officiellement divisée sur cette question. Le Chef de la Diplomatie européenne et contributeur du FEM, Josep Borrell, a indiqué qu’il n’y avait pas de consensus sur cette question.
En contraste aux déclarations de Macron faites à Berlin, les États-Unis, par la voix de John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, ont dans un premier temps réitéré le 28 mai, leur opposition à l’utilisation d’armes américaines pour frapper des cibles en Russie. Il semblerait toutefois que lors de son voyage en Ukraine, qui s’est déroulé le 14 mai dernier, le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, passé par la Fondation France-Amérique, créé par les Présidents Ford et Giscard d’Estaing, membres du groupe Bilderberg, avait déjà donner son accord. Blinken a d’ailleurs laissé entendre mercredi que les États-Unis allaient infléchir leur position.
Un responsable américain a confirmé hier, que le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden, a donné son feu vert pour que l’Ukraine frappe des cibles Russes dans la région de Kharkiv, sous certaines conditions.
Aujourd’hui, le porte-parole du gouvernement allemand a confirmé une décision similaire.
Hier, le journal Moskovski Komsomolets, revenait sur les propos de Poutine professé en Ouzbékistan, estimant que les médias étrangers ont tort de négliger, les déclaration du chef du Kremlin précisant que “derrière leur forme un peu technique, voire abstraite, se cachait un ultimatum sans ambiguïté”.