Passionnée d’équitation, la fille de l’ancien président et de l’ex-première dame s’est illustrée au Longines Paris Eiffel Jumping et a accordé sa toute première interview à Paris Match. Après Louis Sarkozy, omniprésent sur les chaines d’infos en continue, Giulia Sarkozy se dessine un destin public, entre rêves de cinéma, vie de famille et réseaux sociaux,
Elle n’a que 14 ans, mais son nom et sa détermination attirent déjà l’attention. Giulia Sarkozy, fille de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy, a fait une apparition remarquée ce 20 juin lors du Longines Paris Eiffel Jumping, où elle participait à la « Kids Cup Envol », une épreuve équestre caritative. L’événement fut aussi l’occasion pour la jeune cavalière de donner sa première interview à Paris Match, sous l’œil protecteur de sa mère.
Une passion précoce pour l’équitation
Giulia monte à cheval depuis l’âge de 7 ans. Une chute l’a un temps éloignée des paddocks, mais elle a ensuite repris les rênes. Avec Valentine Dudelta, sa jument acquise par ses parents, elle vise désormais le haut niveau
Un rêve soutenu par ses deux parents, toujours présents à ses côtés. « La notoriété de mes parents peut parfois être un poids. Mais globalement, c’est quand même plutôt une chance », estime-t-elle.
Une relation complice avec ses parents
Avec Nicolas Sarkozy, elle partage un goût pour le sport. Il l’accompagnait régulièrement à l’école, et ils courent encore ensemble chaque mois. Mais c’est avec Carla Bruni que les liens sont les plus visibles : la chanteuse a souvent posté des moments intimes sur Instagram, tout en préservant l’anonymat de sa fille.
Dès l’enfance, Giulia a chanté, dansé, et joué à imiter sa mère. Fan de Sia et Ariana Grande, trilingue en français, italien et anglais, la jeune fille explore sans pression artistique ni agenda imposé.
« Pendant longtemps, j’ai voulu être actrice, mais je ne sais pas trop… J’ai encore le temps. »
Déjà influente sur les réseaux sociaux
Suivie par plus de 38 000 abonnés sur Instagram, Giulia s’affirme aussi dans le monde numérique. En mars, elle avait fait parler d’elle lors d’un live TikTok où elle avait défendu son père, condamné dans l’affaire Bismuth :
« Ceux qui lui ont mis [le bracelet électronique] vont payer ! » avait-elle lancé, provoquant une suspension de son compte, que Carla Bruni a tenté de faire lever.
Source : Le Point.
