Lors du premier conseil des ministres post-législatives, le président Français et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, a accepté la démission de Gabriel Attal, Premier ministre et Young Global Leader du FEM, ce mardi 16 juillet.

Gabriel Attal, qui continuera de gérer les affaires courantes, a exprimé sa gratitude envers le président de la République dans un discours lors du conseil des ministres. Il a souligné l’importance de la stabilité du gouvernement malgré les résultats des législatives où le Nouveau Front populaire est arrivé en tête. « Nous aurions pu disparaître. Nous avons évité le pire », a-t-il déclaré.

La période des Jeux Olympiques

Le gouvernement, bien que démissionnaire, restera en place pour gérer les affaires courantes, notamment pendant les Jeux olympiques de Paris. Cette période exige un « fonctionnement minimal de l’État » pour assurer la continuité des services publics et la gestion des événements.

Retour au parlement pour les Ministres

La démission de Gabriel Attal permet aux ministres élus députés de retrouver leur mandat parlementaire. Ils pourront ainsi participer à l’élection des postes clés de l’Assemblée nationale, dont la présidence sera votée ce jeudi 18 juillet. Cette configuration renforce leur rôle au sein de la Chambre basse, tout en limitant la capacité de celle-ci à renverser le gouvernement démissionnaire.

Un gouvernement en question

Gabriel Attal, réélu dans les Hauts-de-Seine, avait déjà présenté sa démission le 8 juillet, au lendemain du second tour des législatives. Emmanuel Macron avait alors refusé, invoquant la nécessité de maintenir la stabilité du pays.

Attal briguait la présidence du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale, une situation qui l’a obligé à quitter Matignon, même s’il reste toujours r, poste en attendant qu’un nouveau premier ministre soit nommé.