Phénomène assez en vogue ces dernières années, le nombre d’arrêts cardiaques semble s’accroitre en ce moment. Observée autour de nous ou en se penchant sur les cas qui touchent les sportifs et qui sont donc médiatisés, cette tendance peut être prouvée scientifiquement.
Il y a quelques mois de cela, l’OMS se disait inquiète pour la souche H5N1 de la grippe aviaire qui continuait de se propager à de nouvelles espèces, notamment aux humains. Potentiellement mortel même si sa capacité à se transmettre à l'homme est relativement faible, ce virus a attiré l’œil des plus grands philanthropes de ce monde, à commencer par le contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Bill Gates, dont la fondation s’active pour aider le secteur public à maitriser cette nouvelle souche.
La 77e assemblée mondiale de la Santé s'est achevée samedi à Genève sans parvenir à un accord sur les pandémies, mais a apporté une série d'amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI), alors que des manifestants se sont rassemblés devant le Palais des Nations, accusant l'OMS, l'agence des Nations unies affiliée au Forum économique mondial, de chercher à prendre du pouvoir au détriment des États.
Si l'OMS a décidé de reporter l'accord sur les pandémies, elle a réformé le Règlement Sanitaire internationale lors de la 77e Assemblée mondiale de la Santé. Les Etats membres ont également approuvé une résolution visant à accélérer les ripostes nationales et mondiales à la résistance aux antimicrobiens (RAM), dans le cadre une "Une seule Santé" qui donne de nouvelles prérogatives supranationales au secrétariat de l'OMS.
Des chercheurs japonais ont mis en lumière les risques potentiels associés aux transfusions sanguines provenant de receveurs du vaccin COVID à ARNm. Selon une étude préliminaire, ces transfusions pourraient poser des risques importants pour la santé, y compris des maladies graves et potentiellement mortelles. Les chercheurs appellent à des mesures de sécurité rigoureuses pour contrôler et sécuriser l'approvisionnement mondial en sang.
La Soixante-dix-septième Assemblée mondiale de la Santé (AMS) se poursuit aujourd'hui au Palais des Nations à Genève, mettant en avant le projet de couverture sanitaire universelle (CSU). Cette initiative de l'Organisation mondiale de la Santé, l'agence des Nations unies affiliée au Forum économique mondial, vise à garantir que tous les individus aient accès aux services de santé dont ils ont besoin sans subir de difficultés financières.
En 2011, lors d'un entretien à New York avec le contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, David Jones, cofondateur de One Young World, le « Forum de Davos des jeunes », qui réunit chaque année les Young Leaders du FEM, Bernard Kouchner, avait exhorté les futurs dirigeants mondiaux à se mobiliser pour une transformation radicale du financement de la Santé mondiale, afin de mettre en place un programme d'assurance-maladie universelle.
Chaque année, environ 300 médecins des hôpitaux français suivent des cours de management à l’École des hautes études en santé publique (EHESP) à Rennes. Inspirées des principes de gestion de l’entreprise moderne, ces formations ont introduit des pratiques managériales dans les services hospitaliers, transformant progressivement la culture de soin en une culture de gestion. Une enquête de Marianne met en lumière les implications de cette évolution.
En marge de la 77e Assemblée mondiale de la Santé, le Groupe des amis de l’Académie de l’OMS a été officiellement lancé lundi 27 mai à l'initiative de cinq pays dirigé par des contributeurs de l'agenda 2030 du Forum économique mondial : la France d'Emmanuel Macron, l’Indonésie de Joko Widodo, le Japon, de Fumio Kushida, le Qatar de Mohammed Bin Abdulrahman Al Thani et le Rwanda de Paul Kagamé. Représentés par leurs ministres ou vice-ministres de la santé, ces nations ont inauguré ce groupe avec l’objectif de soutenir et de promouvoir l’Académie de l’OMS.
Le Directeur général de l'OMS et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, a présenté lundi le rapport annuel de l'organisation lors de la 77e Assemblée mondiale de la Santé. Estimant que les objectifs fixés par les Nations unies, avaient été ralentis par la pandémie de Covid, l'OMS a lancé le "cycle d'investissement", un nouveau mécanisme afin d'effectuer "un changement radical de cap" et de financer une nouvelle stratégie mondiale de santé, fixant la voie à suivre pour remettre le monde sur la bonne voie pour atteindre les objectifs de développement durable liés à la santé.
