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Elon Musk. Photo : @Debbie Rowe

Elon Musk bientôt extradé vers le Royaume-uni ?

Suite aux émeutes qui ont eu lieu entre le 30 juillet et le 5 août dans diverses régions du Royaume-Uni, notamment en Angleterre, par des manifestants d’extrême droite, en réaction à l’attaque au couteau à Southport, qui avait eu lieu le 29 juillet 2024, les autorités britanniques ont menacé de poursuivre Elon Musk. Aux dernières nouvelles, le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden ne s’opposerait pas « à une ordonnance d’extradition du Royaume-Uni pour Elon Musk ».

Le Commissaire en chef de la Police de Londres, Mark Rowley a menacé Elon Musk d’une arrestation sur SkyNews, la chaine présidé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, David Rhodes et fondée par le contributeur du FEM, Rupert Murdoch.

Alors qu’une journaliste de la chaine l’interrogeait à propos du milliardaire, le commissaire a répondu : « Ce n’est pas parce que vous appuyez sur des touches d’un clavier que vous êtes protégé par la loi ». « Vous pouvez être coupable d’incitation à la haine raciale par le biais d’une publication. Nous poursuivrons ces personnes de la même manière que nous poursuivons les voyous dans les rues qui représentent une menace pour la société. »

Musk avait prédit une « guerre civile » imminente après le tragique événement qui s’est déroulé à Southport, en Angleterre, où trois jeunes filles ont été assassinées lors d’un cours de danse sur le thème de Taylor Swift. Le réseau social avait été accusé d’avoir favorisé une vague de désinformation et exacerbé des tensions raciales dans tout le pays.

Le gouvernement britannique a plusieurs fois mis en garde les réseaux sociaux et leurs dirigeants, le premier ministre et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économie mondial, Keir Starmer ayant rappelé que « la loi s’applique aussi bien en ligne qu’hors ligne »

Bruce Daisley, ancien vice-président de Twitter pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, avait également appelé à des mesures sévères contre Musk, en raison de ses propos qu’il jugeait incitant à la violence. Daisley soutenait que des sanctions personnelles contre les dirigeants de grandes entreprises technologiques, comme l’arrestation de Musk, seraient plus efficaces que de simples amendes infligées à leurs entreprises.Il insistait sur la nécessité de renforcer la loi britannique sur la sécurité en ligne de 2023, estimant que cette législation devait être durcie pour tenir les dirigeants d’entreprises comme Musk personnellement responsables de leurs actes. Il a également proposé l’émission d’un mandat d’arrêt au Royaume-Uni contre Musk, une mesure qui restreindrait selon lui, sa liberté de mouvement et pourrait le dissuader d’utiliser sa plateforme pour attiser les tensions sociales.

Qui est Bruce Dailsey ?

Daisley a occupé le poste de vice-président de Twitter EMEA pendant 8 ans, après avoir rejoint l’entreprise en 2012. Auparavant, il a travaillé pour était YouTube et Google, deux Gafams affiliés au FEM (YouTube appartient à Google). Bruce Daisley a également été formé aux côtés de l’ancien vice-président américain et contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Al Gore, dans le cadre de son programme de leadership sur le bouleversement climatique. Daisley fait partie des conférenciers proposés par Speakers Corner, une agence qui propose des personnalités publiques pour des conférences et des panels dans le monde entier. La plupart des panélistes proposées par Speakers Corner sont des contributeurs du FEM. On peut citer comme exemple l’ancien président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, l’ancien ministre des finances grec, Yanis Varoufakis, le conservateur britannique, Philip Hammond, ou encore, April Rinne et Shivvy Jervis

Quand Elon Musk a racheté Twitter, il a renvoyé la plupart des cadres du réseau social. Les Twitter Files ont par la suite donnés des explications conçernant ces licenciements massifs. On apprenait notamment que les anciens cadres de Twitter avait des rendez-vous réguliers avec les responsables de services de renseignements américains pour faire pencher la balance du coté du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden, lors des dernières élections présidentielles.

Selon le compte X, PoliticsVideoChannel, qui tient son information d’une source proche de la Maison Blanche, « le président Biden ne bloquera pas une ordonnance d’extradition du Royaume-Uni visant Elon Musk ou tout autre Américain ».

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