Le président de l’Union Populaire Républicaine, François Asselineau, a abordé des questions épineuses sur l’avenir de la France et son rôle dans une Union européenne potentiellement fédéralisée, lors d’une interview accordée à France Info, lors de l’émission, « La faute à l’Europe », ce vendredi. Il a exprimé son inquiétude de voire Mario Draghi succéder à Von Der Leyen. L’ancien premier ministre italien ayant récemment déclaré que « l’Union européenne devait devenir un état ».
Asselineau a rebondi sur les commentaires de Jean Quatremer, qui présentait la présidente de la Commission européenne et contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Ursula von der Leyen, comme menacée par la montée de l’extrême droite partout en Europe.
Le président de l’UPR a suggéré que son éventuel remplacement pourrait ouvrir la voie à des figures comme l’ancien premier ministre italien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum, Mario Draghi, ancien vice-président de Goldman Sachs et ex-président de la Banque centrale européenne, deux entités affiliées au FEM, qui est un fervent supporter d’une Europe plus intégrée, ayant récemment déclaré que « l’Union européenne devait devenir un état ».
Asselineau a souligné que cela déplacerait le statut international des pays membres à l’ONU et les écarterait des positions clés comme le Conseil de sécurité, où la France pourrait perdre sa place au profit d’un représentant unique de l’UE.
La tête de liste de l’UPR aux prochaines élections européennes, à citer l’exemple du Brexit, comme un mouvement ayant permis au Royaume-Uni de conserver son autonomie et son influence mondiale, contrairement à ce que pourrait devenir la situation de la France dans une UE fédéralisée.
Il a également évoqué le fait que « ces sujets de fonds ne sont jamais évoqués sur les plateaux de télévision », tandis que Jean Quatremer, s’efforçait de faire interrompre Asselineau, comme la relevé le compte X, Carmin D.