À l’approche des élections présidentielles américaines, le climat politique est marqué par une guerre de l’information et de la désinformation, soulignant les divisions profondes et les stratégies controversées des deux potentiels futurs candidats à l’élection présidentielle, Biden et Trump, qui sont d’ailleurs tous deux contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial.
Le blogueur Matt Wallace affirme sur X que l’adversaire de Donald Trump pour la primaire Républicaine, l’ancienne ambassadrice des Etats-Unis auprès de l’ONU, Nikki Haley, aurait selon un lanceur d’alerte proche de Donald Trump, activement plaidée en 2018, pour permettre à Israël de vendre pour plus de 500 millions de dollars d’avions de combat à la Croatie, des équipements militaires initialement offerts par les contribuables américains à Israël pour des raisons de Défense.
Nikki Haley aurait également évoqué un mystérieux « accord du siècle » en décembre 2018, avant de quitter son poste quelques semaines plus tard, alors que, selon Wallace, « Donald Trump était sur ses traces ».
Wallace souligne également que « bon nombre des principaux donateurs de Nikki Haley ont des liens directs avec le gouvernement israélien et d’autres gouvernements du monde entier auxquels les États-Unis font don d’équipements et de fonds militaires ». Selon Wallace, Haleyn maquillerait « d’importants actifs militaires qui sont censés appartenir aux contribuables, puis reçoit une manne massive en retour par de multiples voies différentes ».
Wallace évoque également des rumeurs selon, « lesquelles le gouvernement israélien serait à l’origine des pires fuites d’informations militaires top secrètes vers la Chine, avec d’énormes pots-de-vin, également aux responsables américains qui ont contribué à faciliter cette fuite, qui s’élèveraient des milliards« .
« Malgré cela, Nikki Haley continue de soutenir à 100 % l’armée israélienne et est même allée jusqu’à la justifier sans équivoque en 2017, lorsque l’armée israélienne a tué 50 Palestiniens qui, selon le convoi de l’ONU au Moyen-Orient, n’étaient que des manifestants innocents », continue-t-il.
Les implications légales de telles actions, si elles étaient prouvées, pourraient être graves, incluant des peines de prison et des amendes significatives, voire la perte du droit d’exercer une fonction publique pour trahison contre les États-Unis, conformément au titre 18 du code américain, relève Wallace.
Wallace a ensuite constaté dans un autre post que « Nikki Haley n’a pas posté une seule fois sur X depuis que nous l’avons exposée il y a 12 heures ». « Elle publie normalement toutes les quelques heures. Je pense que nous l’avons brisée. »
Il est difficile de se prononcer sur la véracité de ces informations et il pourrait s’agir d’un coup bas de Donald Trump, toujours est-il que tous les moyens semblent bons pour tenter d’éviter la candidature de l’ancien président américain.
Le superviseur de l’US EEOC (une agence fédérale pour l’emploi) de Cleveland, Dilip Gokhale, aurait déclaré selon Pajany, que « le président américain Joe Biden lui a envoyé une lettre lui demandant d’inventer une affaire et de couvrir Capgemini et les crimes de Trump ».
Aux Etats-unis circule la rumeur du « Projet 2025 », un agenda qui pousserait les Etats-unis vers une dictature menée par Trump, avec l’appuie de « 80 organisations conservatrices », comme en témoigne le tweet ci-dessous.
L’ancien président américain à durcit le ton ces derniers temps exprimant notamment son envie de devenir un dictateur, comme le rappel The Lincoln Project. un groupe de pression politique aux États-Unis, créé à la fin de l’année 2019 par d’éminents membres du Parti républicain. Leur but avoué est de faire barrage à la réélection de Donald Trump pour le mandat présidentiel de 2020. Selon leur manifeste, ils considèrent que « Trump et ses partisans du trumpisme représentent une menace directe et sérieuse pour la constitution et la République ». En avril 2020, ce comité a officiellement apporté son soutien à Joe Biden. À moins que la création de ce groupe soit une nouvelle tentative d’écarter Trump de la présidentielle.
Car depuis qu’il a pris des positions tranchées durant la pandémie, parlant de virus chinois et s’opposant à l’OMS ou à son conseiller Santé, le contributeur du FEM, Anthony Faucci, s’en prenant à l’OMS et exprimant sa volonté de quitter l’OTAN, Trump suscite beaucoup d’inquiétudes aux Etats-Unis. Peut-être que certains craignent qu’ils fassent des révélations fracassantes.
La pratique du boycotte des réseaux sociaux par les annonçeurs était née après les soupçons d’ingérence durant la campagne de Trump. Le président de l’Anti Defamation League, Jonahatn Greenbalt, qui est par ailleurs un contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, avait lancé une campagne de boycotte de Facebook, dirigé par le contributeur du FEM, Mark Zuckerberg. Le premier groupe à l’avoir suivi avait été Unilever, un des poids lourds du FEM. En 2020, après la mort de George Floyd, le mouvement #StopHateForProfit, composé de neuf ONG dont l’ADL et Color of Change, a protesté contre les messages haineux sur Facebook. Ces ONG incluent des contributeurs du Forum économique mondial, comme Heather McGhee de Color Of Change. C’est ce collectif qui a lancé une croisade contre Twitter, après son rachat par Elon Musk. Dans ce contexte de guerre de l’information et de désinformation, il est donc difficile d’y voire claire, d’autant que les fast-checkeurs des médias traditionnels, ne font pas preuve d’impartialité et que la modération des réseaux sociaux est verrouillée par les campagnes #Verified et #NonàlaHaine des Nations censées lutter contre l’infodémie et les messages haineux, ainsi que par le DSA, le texte qui régule les plateformes de réseaux sociaux sur le territoire de l’Union européenne. Dans le cadre du « Projet Virality », qui impliquait l’université Stanford, affilée au FEM, les services de renseignement américains et les plateformes de réseaux sociaux dévoilé dans les Twitter Files, de la véritable information scientifique a été censurée durant la crise sanitaire et cela a été confirmé à la chambre des représentants des Etats-unis.