Alors que le monde rend hommage au pape et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, François, décédé à 88 ans au début de la Semaine Sainte, Rome devient le théâtre d’une intense activité diplomatique. Une occasion que Giorgia Meloni entend saisir pour renforcer son influence sur la scène internationale.
Quelques heures seulement après avoir présidé la bénédiction du dimanche de Pâques, le pape François s’est éteint au Vatican à l’âge de 88 ans. En attendant le conclave chargé d’élire son successeur, de solennelles funérailles se préparent dans la Cité éternelle.
Des funérailles sous haute tension diplomatique
Chef d’État du Vatican, le pape François bénéficiera d’obsèques exceptionnelles, rassemblant de nombreux dirigeants mondiaux. Parmi eux, de nombreux contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, dont Donald Trump, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz, le Premier ministre britannique Keir Starmer ou Volodymyr Zelensky qui devrait être présent s’il n’est pas retenu par des activités militaires.
Giorgia Meloni à l’affût d’une opportunité géopolitique
La présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, passée par le programme Young leader de la Fondation Aspen dirigé par le contributeur du FEM, Daniel R. Porterfield, voit dans cet événement un moment stratégique.
Réunissant sur son sol une pléiade de leaders internationaux, elle entend jouer un rôle actif dans les discussions géopolitiques en cours, affirmant ainsi la place de l’Italie sur l’échiquier mondial.
Avant d’arrivée à Rome, Trump s’est montré une nouvelle fois dytirambique à l’égard de la première ministre italienne, devant la presse.
Métadescription :
La mort du pape François transforme Rome en centre diplomatique mondial : Giorgia Meloni entend saisir cette opportunité pour renforcer son influence internationale.
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