Alors que les préparatifs pour les Jeux Olympiques 2024 à Paris battent leur plein, une contribution musicale inattendue a suscité une vive controverse sur les réseaux sociaux. Arielle Dombasle, femme du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Bernard Henri Levy, a dévoilé une chanson intitulée « Olympics » pour célébrer l’arrivée de la flamme olympique à Paris. Cependant, cette initiative a rapidement provoqué un tollé parmi les internautes.
Les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 se dérouleront à Paris entre le 26 juillet et le 8 septembre, avec une cérémonie d’ouverture prévue le 26 juillet sur la Seine. Des rumeurs circulent sur la participation de la contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Céline Dion, même si son état de santé ne devrait pas lui permettre d’être présente et Aya Nakamura, qui pourraient interpréter des classiques d’Edith Piaf, tandis que Cerrone est le premier artiste confirmé. Cependant, Arielle Dombasle, non invitée à se produire lors de la cérémonie officielle, a pris l’initiative de créer une chanson dédiée aux JO, intitulée « Olympics », sortie sur l’album, « Ico- nics », dédié aux femmes qui l’ont inspirée.
Dans une interview accordée à 20 minutes, Arielle Dombasle a annoncé fièrement que son titre, mélange de chant lyrique et d’électro inspiré par la « Septième symphonie », serait joué le 14 juillet lors de l’arrivée de la flamme olympique à l’Hôtel de Ville de Paris, de la contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Anne Hidalgo.
Arielle Dombasle s’est dite enthousiaste à l’idée de participer à cet événement international et a exprimé sa fierté d’accueillir les pays du monde entier à Paris.
Sur TV5 Monde, elle a affirmé avoir « écrit cet hymne pour les femmes » et à la gloire des « premières athlètes féminines ! »
Arielle Dombasle issue d’une famille d’industriels lyonnais et de diplomates
Dombasle, né Arielle Laure Maxime Sonnery à Hartford, dans le Connecticut, est issue d’une famille d’industriels Lyonnais. Elle est l »arrière petite fille de Louis Sonnery-Martin, industriel et homme politique Lyonnais, qui fut député, conseiller au département du Rhone et président de la chambre de commerce de Tarare. Le père d’Arillée Dombasle, Jean-Louis-Melchior Sonnery, était archéologue et collectionneur d’art précolombien, tandis que sa mère, Francion Garreau-Dombasle, appartenait à une famille notable avec des attaches diplomatiques et littéraires.
Son grand-père maternel, Maurice Garreau-Dombasle, a été consul de France à Calcutta dans les années 1920 et a épousé en secondes noces Man’ha Garreau-Dombasle, une écrivaine et poétesse influente. Elle a notamment traduit en français Les Amours de Radha et de Krishna de Rabindranath Tagore ou Gurudev, un compositeur, écrivain, dramaturge, peintre et philosophe indien dont l’œuvre a eu une profonde influence sur la littérature et la musique du Bengale à l’orée du xxe siècle, qui a soutenu le mouvement pour l’indépendance de l’Inde et Gandhi. Maurice a également été le premier diplomate français aux États-Unis à rejoindre le général de Gaulle en 1940.
Dombasle a passé son enfance entre le Mexique, New York, Lyon et le sud de la Francen avant de rejoindre Paris, où elle a étudié la danse et le théâtre au Conservatoire international de musique de Paris et au cours Simon. Elle fréquente ensuite le milieu artistique parisien, se liant d’amitié avec des personnalités telles que Christian Louboutin et Pierre et Gilles, devant l’égérie de Jean-Paul Gauthier et l’amie de la famille Betancourt, propriétaire du groupe l‘Oréal, membre du Forum économique mondial. Mariée au contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Bernard-Henri Lévy depuis 1993, elle a eu l’occasion de s’exprimer dans le théâtre, la musique, ou le cinéma selon les opportunités et ses désir, s’essayant même à plusieurs reprises à la réalisation de plusieurs films, dont Alien Crystal Palace, sortie en 2018. En tant qu’actrice, elle a eu l’occasion de jouer pour les cinéastes les plus présitigieux comme Roman Polanski, Eric Rohmer, ou John Malkovich, mais aussi de jouer pour son mari dans Le Jour et la Nuit, aux côtés d’Alain Delon, Lauren Bacall et Karl Zéro.
Musicalement, celle qui se définie comme une « soprano dramatique », a notamment enregistré un album avec le groupe Era à Londres, inspiré à la fois par la musique sacrée, la musique de film et l’univers techno de la musique trance, qui a pu influencer le morceau « Olympique ». Era a été fondé par le musicien français Éric Lévi, qui était également membre du groupe de hard rock Shakin’ Street, qui a été repéré à Paris par Sandy Pearlman, manager du groupe américain Blue Öyster Cult et du groupe de rock Black Sabbath.
Arielle Domabsle s’est également engagée dans de nombreuses causes et notamment avec l’écologie en lançant, avec le soutien de la fondation Nicolas-Hulot, du contributeur de l’agenda 20330 du Forum économique mondial, Nicolas Hulot, le défi #JeSauveUneSirène sur les réseaux sociaux pour sensibiliser les gens à ramasser le plastique sur les plages.
Un accueille glacial
Toutefois, la chanson « Olympics », n’a pas reçu l’accueil escompté sur les réseaux sociaux. Dès sa sortie, le morceau et son clip, tourné au musée des Arts décoratifs de Paris, ont été critiqués pour leur qualité médiocre et leur esthétique jugée kitsch. Les internautes ont fait preuve de beaucoup pus de créativité que la chanteuse en affirmant : « Pire truc que j’ai vu de ma vie. Et je suis médecin légiste » ; « Arielle Dombasle, c’est la version snob d’Afida Turner » ; « Une médaille d’or s’impose à tous ceux qui ont écouté jusqu’au bout »…
Arielle Domabsle était ce matin sur le plateau de CNews dans le cadre de sa promo. Pascal Praud, a souligné que dans les métiers artistiques, « il y a une exigence de réussite et tout le monde n’a pas de talent ».