Léo Cans, chef de mission de Médecins sans frontières, a affirmé le 15 mars sur BFMTV que le décès d’un nourrisson avait eu lieu faute d’accès au lait maternel. Une déclaration dont il convient de se méfier alors que l’ONG emploie des contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, et que le FEM semble particulièrement intéressé par le lait infantile et les femmes enceintes. Explications.
« Il n’y a rien qui peut justifier qu’un nouveau-né meurt de faim aujourd’hui », a déclaré Cans expliquant que la sœur d’un de ses collègues a perdu son bébé récemment faute de lait maternel.
Une déclaration a prendre avec précaution alors que l’ONG française emploie la contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Neema Kaseje, et a employé la Bio-ingénieur, Els Toureele, qui a travaillé pour l’Open Society du contributeur du FEM, Georges Soros.
L’OMS et l’UNICEF, les deux agences onusiennes membres du FEM, ont lancé un rapport fin février 2022 sur l’impact de la commercialisation des substituts du lait maternel sur les décisions et les pratiques d’alimentation des nourrissons.
Le 8 février, The Lancet publiait une enquête appelant à la « répression de la commercialisation abusive du lait infantile » fiancée par la Fondation Bill et Melinda Gates, membre du FEM.
Cela intervenait alors que l’OMS martelait que le vaccin à ArnM Messager était sans danger pour les femmes enceintes.
Le 12 aout, The Lancet avait publié une étude canadienne, qui affirmait hâtivement que les vaccins à ARN Messager seraient « sans danger » pendant la grossesse.
Nous avions vérifié l’étude en détail et les conclusions des auteurs ne correspondaient pas aux chiffres publiés. Un lecteur médecin nous avait même fait remarquer que le biais allait plus loin que ce que nous avions constaté. Une autre étude publiée le 17 juin 2021, intitulée « Résultats préliminaires de l’innocuité du vaccin ARNm Covid-19 chez les femmes enceintes », arrivait à la même conclusion.
Par ailleurs une étude publiée le 26 septembre 2022 dans la revue américaine Jama Pediatrics intitulée « Détection des vaccins COVID-19 à ARN messager dans le lait maternelle humain« , révélait comme son nom l’indique la présence de trace d’ARN messager (ARNm) dans le lait maternel de femmes récemment vaccinées.