Le mardi 7 janvier, Donald J. Trump président élu des États-Unis et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, a exigé la libération immédiate des otages israéliens détenus par le Hamas dans la bande de Gaza. Lors d’une conférence de presse en Floride, il a prévenu que si cette condition n’était pas remplie avant son investiture à Washington le 20 janvier prochain, « l’enfer éclatera au Moyen-Orient ».

Fervent soutien du Premier ministre et contributeur du FEM, Benjamin Netanyahou, Donald Trump a déclaré que la libération des otages est non seulement essentielle pour Israël, mais aussi cruciale pour les relations internationales des États-Unis. « Ce ne sera bon pour personne si le Hamas persiste à les détenir. Ça n’ira ni pour eux, ni pour la région », a-t-il insisté.

Malgré le ton ferme de Donald Trump, Steve Witwoff, émissaire américain pour le Moyen-Orient, a manifesté un certain optimisme. Selon lui, des avancées diplomatiques pourraient permettre d’obtenir des résultats positifs avant l’échéance.

Des négociations toujours en cours

Parallèlement, des pourparlers sous l’égide du Qatar se poursuivent entre Israël et le Hamas pour aboutir à une trêve et à la libération des otages. Selon le porte-parole qatari Majed al-Ansari, « les réunions techniques se poursuivent et nous espérons un accord partiel d’ici peu ».

Lors de discussions précédentes, le Hamas avait accepté de libérer 34 otages sur les 96 capturés, mais 34 autres ont été déclarés morts par l’armée israélienne. Le sort des otages restants reste une source majeure de tensions.

Une situation explosive

Alors que la date limite fixée par Donald Trump approche, l’attention internationale se concentre sur les événements de Gaza. Si aucun progrès significatif n’est réalisé avant le 20 janvier, le risque d’une escalade militaire semble élevé.

Source : TF1