Le Premier ministre Canadien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Justin Trudeau, a annoncé un changement majeur dans la politique étrangère canadienne concernant le Moyen-Orient, dévoilé lors d’un point de presse qui s’est déroulé vendredi à Kelowna, en Colombie-Britannique. Selon Trudeau, le Canada est désormais prêt à reconnaître unilatéralement l’État palestinien, indépendamment de l’approbation d’Israël, à condition que le Hamas ne soit plus impliqué dans le gouvernement palestinien.
Cette nouvelle approche canadienne ne nécessitera plus que la reconnaissance de l’État palestinien survienne à la fin des négociations de paix, mais pourrait se faire plus tôt, si les conditions sont jugées propices à l’établissement d’une paix durable. Cette position est présentée comme une tentative de pression sur le gouvernement du Premier ministre israélien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Benyamin Nétanyahou, que Trudeau a critiqué pour bloquer les progrès vers une solution à deux États.
« Le gouvernement Nétanyahou est en train de bloquer de façon inacceptable tout parcours vers une solution à deux États, et le Hamas, un organisme terroriste, continue de s’attaquer de façon violente à Israël […]. C’est pour ça que nous avons choisi de changer notre position sur la reconnaissance d’un État palestinien
« , a expliqué le Premier ministre Canadien. La semaine dernière, le ministre des Affaires étrangères britanniques et contributeur du FEM, David Cameron, avait déjà prôné la même solution.
Un vote s’est déroulé ce vendredi 10 mai aux Nations Unies dirigées par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Antonio Guterres, pour se prononcer sur la demande d’adhésion des Palestiniens à l’ONU. Ce scrutin n’a eu qu’une portée symbolique en raison du veto posé par les Etats-unis du contributeur du FEM, Joe Biden, le 18 avril dernier.
Le Canada, tout comme le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie, qui avaient jusqu’ici toujours voté contre la reconnaissance de l’État palestinien par l’ONU, a changé de position, s’abstenant cette fois-ci de voter. Le Royaume-Uni et l’Allemagne sont dirigés par les contributeurs du FEM, Rishi Sunak et Olaf Scholz, tandis que l’Italie est dirigée par Giorgia Meloni, passé par les Instituts Aspen, dirigés par le contributeur du FEM, Daniel R. Porterfield.
Le 6 mai dernier, lors des commémorations de Yom HaShoah, Trudeau a pris la défense de l’idéologie sioniste, de laquelle il se revendique, tout en réitérant devant des membres de la communauté juive qu’il croyait toujours en une solution à deux États en Palestine.
Justin Trudeau a insisté sur le fait que le terme « sioniste » ne devrait pas être interprété comme une insulte, et que personne ne devrait être ciblé parce qu’il souscrit à cette idéologie. « Menacer, intimider ou exclure des Canadiens à cause de leur foi, de leur identité, ou parce qu’ils appuient le droit d’autodétermination du peuple juif sur leurs terres ancestrales est absolument inacceptable », a-t-il déclaré. « Le peuple juif, comme tous les peuples, a le droit de déterminer son propre avenir. »