La contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Lady Gaga a marqué l’histoire de la musique live avec un méga-concert gratuit organisé le 3 avril sur la plage emblématique de Copacabana à Rio de Janeiro. Devant une foule estimée à 2,1 millions de personnes, la chanteuse a offert un show pop-opératique grandiose, tandis qu’un attentat anti-LGBT avait été planifié en coulisses. La police brésilienne affirme avoir déjoué une attaque terroriste, dans ce qui aurait pu être l’un des pires drames musicaux de l’histoire contemporaine.
Selon le ministère de la Justice brésilien, le concert de Lady Gaga était ciblé par un groupe radicalisé qui agissait en ligne, diffusant des discours haineux et cherchant à recruter des adolescents pour exécuter une attaque coordonnée à l’aide de cocktails Molotov et d’explosifs artisanaux. L’opération baptisée « Fake Monster », clin d’œil ironique aux Little Monsters (le surnom des fans de la star), a mené à l’arrestation de plusieurs individus. Un homme armé a été arrêté dans le sud du Brésil, alors qu’un adolescent a été interpellé à Rio. Les cibles désignées par le groupe comprenaient des enfants, des adolescents et le public LGBTQIA+.
La menace a été discrètement neutralisée, sans troubler l’ambiance du spectacle. Lady Gaga n’a été informée qu’après coup, a confirmé son attaché de presse à TMZ.
Une performance monumentale au message fort
Lady Gaga, 39 ans, a fait son grand retour au Brésil, 13 ans après sa dernière tournée. Dès son apparition, perchée à plus de deux mètres dans une robe écarlate gigantesque et semblant ésotérique, elle a capté l’attention d’un public en délire.
La scène, construite comme un échiquier géant, a accueilli des performances scéniques illustrant ses morceaux « Poker Face », « Bloody Mary », « Abracadabra » et surtout le message politique de « Born This Way », dédié à la communauté LGBTQ brésilienne.
« Ce soir, nous écrivons l’histoire », a lancé Lady Gaga en larmes, avant de conclure avec son morceau « Shallow » au piano, repris ensuite en chœur par les fans dans la nuit carioca.
Un impact économique
Avec plus de 5.000 agents de sécurité, drones et caméras à reconnaissance faciale, la ville de Rio avait anticipé une affluence record. Malgré certaines critiques sur les chiffres, les autorités misent sur plus de 100 millions de dollars de retombées économiques.
Des concerts sous le signe de l’élite mondialiste
Après Madonna, le maire Eduardo Paes a même évoqué la possibilité de faire venir U2, dont le chanteur Bono est lui aussi un contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, l’année prochaine pour poursuivre cette tradition de concerts gratuits en mai.
Edouard Paes, un maire proche du Forum économique mondial
Si le maire de Rio, n’est pas référencé dans le who’s who du FEM, en avril 2011, il a participé à la réception d’ouverture du Forum économique mondial sur l’Amérique latine à Rio de Janeiro, aux côtés de Klaus Schwab, fondateur du WEF, et de Sérgio Cabral, alors gouverneur de l’État de Rio de Janeiro et contributeur du FEM.
En 2024, il a assisté à la réunion annuelle du WEF à Davos, marquant une collaboration renforcée entre la ville de Rio de Janeiro et le Forum.
Il a également signé un accord pour établir un centre avancé du Forum économique mondial à Rio de Janeiro, visant à promouvoir l’innovation urbaine et la transformation numérique dans la région