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Joe Biden. Photo : @Adam Schultz/White House

Biden commet deux nouvelles gaffes au sommet de l’OTAN 

Lors du sommet de l’OTAN à Washington, Joe Biden a commis une erreur notable en confondant le président russe Vladimir Poutine avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, une gaffe qui a immédiatement attiré l’attention de ses adversaires politiques et des médias. 

Le président américain et contributeur de l’Agenda 2030 du Forum Économique Mondial, Joe Biden, s’exprimant lors du sommet de l’OTAN célébrant son 75e anniversaire, a réalisé non pas une, mais deux bourdes hier soir. Alors qu’il accueillait le leader ukrainien et contributeur du FEM, Zelensky, Biden a déclaré : « Et maintenant, je veux passer la parole au président de l’Ukraine, qui a autant de courage qu’il a de détermination. Mesdames et messieurs, le président Poutine. » Réalisant rapidement son erreur, il a tenté de la rattraper ainsi : « Il va battre le président Poutine. Le président Zelensky. Je suis tellement concentré sur le fait de battre Poutine ». 

Un faux pas à un moment crucial 

Cette confusion survient à un moment critique pour Biden, dont la capacité à diriger est régulièrement mise en question. Quelques heures après cette bévue, il devait tenir une conférence de presse décisive, où il était attendu pour démontrer sa clarté d’esprit et sa détermination face aux défis politiques et internationaux. Ce n’était pas la première fois que Biden commettait ce genre d’erreur, et les républicains n’ont pas tardé à utiliser cette vidéo pour le critiquer. 

Malgré cette bourde, Biden a maintenu une attitude combattive lors de la conférence de presse suivante. C’est à ce moment qu’a eu lieu sa deuxième mésaventure. Répondant à une question sur la vice-présidente Kamala Harris, il a encore une fois trébuché en disant qu’il n’aurait pas choisi « la vice-présidente Trump » s’il ne la croyait pas qualifiée pour être présidente. Cette nouvelle erreur a laissé son camp dubitatif, à commencer par le chef de la Diplomatie Américaine, Anthony Blinken, passé par la Fondation France-Amérique fondée par les présidents Ford et VGE, membres du groupe Bilderberg.

Cette succession d’erreurs a accentué les inquiétudes sur sa capacité à mener une campagne présidentielle réussie contre Donald Trump, contributeur de l’Agenda 2030 à l’instar de son adversaire. 

Un discours de détermination 

Joe Biden a cherché à rassurer ses partisans en insistant sur sa détermination et son expérience. « Je suis déterminé à être candidat, mais je pense qu’il est important d’apaiser les peurs », a-t-il déclaré. Il a mis en avant son rôle dans l’élargissement de l’OTAN et la formation d’une coalition de soutien pour l’Ukraine, affirmant : « J’ai battu [Donald Trump] une fois et je le battrai encore. » Il a également rejeté les rumeurs concernant son état de santé, affirmant avoir passé des examens neurologiques intensifs qui ont confirmé qu’il était en bonne forme. 

La question de la candidature de Biden reste sensible. Certains au sein du Parti démocrate doutent de sa capacité à gagner une nouvelle élection présidentielle, malgré ses affirmations de soutien de ses alliés internationaux. « Si, à la convention, ils veulent choisir quelqu’un d’autre, c’est le processus démocratique », a-t-il concédé, bien qu’il ait ajouté avec confiance que cela n’arrivera pas. 

De nombreux démocrates expriment leur scepticisme quant à la capacité de Biden à maintenir sa candidature jusqu’à la convention du parti en août. Ritchie Torres, un élu de New York, a déclaré sans détour : « Ni la conférence de presse de ce soir ni l’interview prévue pour lundi n’offriront au président le salut politique qu’il recherche. »

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