Alors que le premier ministre Israélien et contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Benjamin Netanyahou, a annoncé une prochaine offensive sur la ville de Rafah, la décision des États-Unis de mettre leur veto à un projet de résolution de l’ONU appelant à un cessez-le-feu immédiat, présenté par l’Algérie, a été largement commenté par les médias proches du Forum économique mondial.
Ce veto, survenu le 20 février, marque la troisième intervention américaine contre des résolutions similaires. Outre le véto américain, le projet de résolution algérien a obtenu 13 treize voix pour et une absention, celle du Royaume-Uni du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Rishi Sunak. Les Etats-unis ont fait savoir qu’il travaillaient à un texte alternatif appelant à un cessez-le-feu temporaire sous conditions.
Les réactions des médias proches du Forum économique mondial
The New York Times, qui est affilié au Forum économique mondial, pointe du doigt l’isolement des États-Unis. Il rappel que l’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield avait préalablement annoncé l’opposition des États-Unis au texte algérien, arguant de potentielles entraves aux négociations en cours pour un accord sur les otages entre Israël et le Hamas et que celles-ci n’ont pas abouti. Pour rappel, les négociations sont menées par le chef de la CIA et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, William Burns, le chef du Mossad, David Barnea et le chef du gouvernement du Qatar et contributeur du FEM, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani.
Même son de cloche du côté du New York Magazine, qui appartient aux Wasserstein Family Trusts, depuis la mort du banquier d’affaire Bruce Wasserstein, co fondateur de la banque d’affaires Wassertain Perella, avec le contributeur du FEM, Josep Perella, avant de devenir DG de la banque Lazard, affiliée au FEM.
Pour Al-Jazeera, la chaine qatari fondée par le clan Al-Thani, qui compte de nombreux contributeurs de l’agenda 2030, dont le négociateur Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, cette impasse diplomatique soulève des questions quant à la validité des arguments américains contre la résolution algérienne, d’autant plus que le Qatar et l’Égypte, acteurs clés des négociations, n’ont pas corroboré cette position.
La BBC, qui est membre du FEM, révèle que la proposition alternative des Etats-unis appelant à un “un cessez-le-feu temporaire ‘dès que possible’« , est conditionné à la libération des otages, « ainsi qu’à la levée des obstacles empêchant l’aide [humanitaire] d’arriver à Gaza. » Le média britannique précise qu’il n’est pas certain que le conseil de sécurité votera le texte.
Le Financial Times qui est référencé sur le site du FEM, comme un contributeur de l’agenda 2030, affirme que “le recours à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU pour appeler à un changement de stratégie d’Israël représente une étape diplomatique importante pour les États-Unis”. Il analyse la proposition américaine, comme « une rare critique d’Israël à l’ONU de la part des États-Unis« , qui refléterait selon eux, « la frustration », du président américain et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden, « face à la conduite de la guerre du gouvernement israélien à Gaza et au nombre élevé de morts parmi les civils palestiniens ».
The Daily Telegraph qui appartient à Barclays, la banque britannique affiliée au FEM, a donné la parole au contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, le prince William, qui se dit “Très préoccupé par le coût humain du conflit au Moyen-Orient depuis l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre”, appelle à la fin des combats et à une trêve humanitaire. « Il est essentiel que l’aide soit acheminée et que les otages soient libérés”, déclare-t-il.