Au milieu du débat en cours sur la législation du Missouri concernant les procédures transgenres pour les mineurs, l’American Civil Liberties Union (ACLU) une association de Défense des droits humains se retrouve au cœur de la controverse pour ses actions contre la lanceuse d’alerte Jamie Reed. Reed, ancienne employée d’une « clinique transgenre », a attiré l’attention en exposant des procédures préoccupantes sur des enfants à l’hôpital pour enfants de St. Louis.
L’ACLU, historiquement connue pour défendre les lanceurs d’alerte, a pris un tournant inattendu en demandant toutes les communications entre Reed et diverses entités. Cette démarche s’inscrit dans les efforts de l’ACLU pour contester la loi du Missouri visant à protéger les enfants dysphoriques par rapport au genre des préjudices potentiels dans l’industrie transgenre.
Ernie Trakas, l’avocat de Reed, a exprimé sa déception face aux actions de l’ACLU, soulignant le changement de rôle de l’organisation loin de sa mission traditionnelle de protection des lanceurs d’alerte.
Reed, qui a exprimé publiquement ses préoccupations concernant les « soins d’affirmation de genre », a critiqué la demande de l’ACLU comme étant démesurée. Les organisations mentionnées dans la demande de l’ACLU vont des groupes conservateurs tels que l’Alliance Defending Freedom à d’autres comme la Heritage Foundation et le Family Research Council.
La question des procédures transgenres pour les mineurs est souvent présentée comme un combat entre conservateurs et progressistes. Cependant, le cas de Reed souligne que l’opposition à ces procédures ne se limite pas à une seule idéologie politique. Malgré son identification comme étant de gauche politiquement, Reed, une femme queer mariée à un homme trans, milite contre la médecine générique pédiatrique et souligne l’importance des points de vue diversifiés.
Son activisme s’étend à la fondation de la LGBT Courage Coalition, axée sur les préoccupations concernant la médecine générique pour les enfants et la suppression des perspectives alternatives.
Les efforts de Reed ont pris de l’ampleur après ses révélations sur les procédures alarmantes menées sur des mineurs confus par rapport à leur genre, ce qui a conduit aux actions du Missouri. Sous serment, elle a détaillé des pratiques dérangeantes, notamment la facilité avec laquelle les mineurs pouvaient commencer des traitements hormonaux avec peu de supervision. La position inébranlable de Reed contre les interventions médicales nocives sur les mineurs reflète une prise de conscience croissante des complexités entourant les questions transgenres et de la nécessité de discussions nuancées pour protéger les populations vulnérables.
Le ciblage de Reed par l’ACLU soulève des questions sur les priorités de l’organisation concernant les droits individuels et la protection des lanceurs d’alerte dans des contextes sensibles. D’autant plus que L’ACLU emploie le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Jay Stanley, et a employé Laleh Ispahani, qui est désormais directrice général aux États-Unis de l’Open Society Foundation du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Georges Soros.