Le gouvernement libéral du Premier ministre et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Justin Trudeau, a annoncé un investissement supplémentaire de 36 millions de dollars dans son Programme de soutien aux victimes de vaccination (VISP) selon le média américain LifeSiteNews. Ce fonds vient s’ajouter aux 11 millions de dollars déjà distribués à ceux affectés par les vaccins contre le COVID-19.
Depuis son introduction en 2020, juste avant le déploiement massif des vaccins, le VISP a été un pilier de soutien pour les Canadiens ayant subi des effets secondaires graves et permanents des vaccins autorisés par Santé Canada. Bien que le gouvernement maintienne que les vaccins anticovid sont sûrs, le nombre de réclamations a augmenté de manière significative, avec 2 233 demandes déposées à ce jour. Sur ces demandes, seulement 138 ont été approuvées pour compensation, tandis que 1 825 ont été rejetées.
Cette augmentation de financement, qui a été incluse dans le budget de 2024 et qui devrait passer avec le soutien du Nouveau Parti démocratique (NPD), intervient dans un contexte de critiques croissantes concernant la gestion des effets secondaires des vaccins. En dépit des assurances de sécurité par Santé Canada, les données du système américain de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) indiquent une hausse des cas de myocardite suite aux injections de COVID.
Les responsables de Santé Canada continuent de promouvoir la vaccination, même pour les très jeunes enfants, avec des recommandations récentes pour des injections dès l’âge de six mois, alors que Life SiteNews, affirme que « Les injections à ARNm ont également été liées à une multitude d’effets secondaires négatifs et souvent graves chez les enfants ». Nos confrères précisent que « des responsables de Santé Canada ont admis qu’il y a de l’ADN plasmidique résiduel dans les vaccins ».
Parallèlement, des actions en justice commencent à voir le jour. Récemment, une action collective a été lancée contre le gouvernement provincial de l’Alberta et le gouvernement fédéral au nom des Albertains blessés par ces vaccins. Cette initiative reflète une frustration croissante face aux effets négatifs des politiques vaccinales, illustrée également par une action collective de plus de 700 Canadiens non vaccinés qui ont subi des conséquences négatives en raison des directives fédérales.