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Trump et Alex Jones : L’alerte d’un Armageddon nucléaire et la critique de l’interventionnisme américain

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Alors que Joe Biden semble avoir autorisé l’Ukraine de pouvoir utiliser des missiles de longues portée pour frapper la Russie, Alex Jones, animateur d’Infowar une émission au coeur d’une polémique actuellement aux Etats-unis, a publié une nouvelle vidéo qui semble dater de 2023 où Donald Trump déclarait que le monde n’a jamais été aussi proche d’une Troisième Guerre mondiale, citant la guerre en Ukraine comme un conflit risquant de dégénérer en une guerre globale entre puissances nucléaires. Ce discours est suivi de l’analyse d’Alex Jones, qui renforce l’idée que les décisions actuelles des États-Unis mènent le monde au bord de l’abîme.

La vidéo publiée par Jones, semble dater de la même époque que la vidéo circulant récemment sur les réseaux sociaux où l’ont pouvait voire le nouveau président élu dévoiler un plan en dix points pour démanteler le « Deep State ». Celle-ci datait de 2023.

Dans la vidéo publiée par Jones, Donald Trump évoque « un Armageddon nucléaire sans précédent dans l’histoire humaine ».

« Nous devons mettre un terme immédiat à toutes les hostilités. Chaque jour, ce conflit nous rapproche d’une guerre mondiale », avertissait-il.

Trump exhortait à un arrêt immédiat des combats et plaidait pour une paix rapide afin d’éviter une catastrophe mondiale.

Une critique virulente de l’establishment globaliste

L’ancien président attaquait également le « complexe néoconservateur globaliste » qu’il accusait de pousser les États-Unis dans des guerres interminables sous prétexte de défendre la liberté et la démocratie.

« Nous devons démanteler ce système qui nous entraîne dans des conflits sans fin et restructure nos institutions pour placer l’Amérique en première place. »

Il ciblait notamment le département d’État, les agences de renseignement et le Pentagone, qu’il considèrait comme responsables de cette politique étrangère interventionniste.

Une vision centrée sur l’Amérique

Donald Trump appelait à « reconstruire l’Amérique de l’intérieur », insistant sur la nécessité de recentrer les efforts sur des problématiques nationales telles que :

  • La protection des frontières : Trump a dénoncé « l’abolition des frontières nationales » comme l’un des principaux dangers pour la civilisation occidentale.
  • La sécurité intérieure : Il a critiqué l’incapacité à maintenir l’ordre dans les villes américaines et le déclin de l’état de droit.
  • La famille et les valeurs traditionnelles : L’ancien président a mis en garde contre le « marxisme culturel » qui, selon lui, sape les fondements de la société américaine, comme la famille nucléaire et les traditions.

Un appel à redéfinir le rôle de l’ONU

Trump plaidait également pour une réévaluation complète des objectifs et missions des Nations unies. Il estimait que l’organisation a échoué à résoudre les problèmes mondiaux et doit être profondément restructurée.

« Nous devons en finir avec cette obsession de faire de la Russie l’ennemi numéro un, alors que nos véritables menaces sont internes : la perte de nos valeurs, la corruption de nos élites et l’effondrement de notre société. »

Un défi pour le prochain président

Donald Trump concluait en affirmant qu’il était le seul capable de relever les défis qui attendent les États-Unis et de remettre le pays sur la voie de la grandeur.

« Je suis le seul qui sait exactement ce qui doit être fait pour protéger notre civilisation et notre nation. »

Analyse d’Alex Jones

Selon Jones, la récente décision de l’administration Biden d’autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles longue portée pour frapper en territoire russe est une provocation directe qui pourrait déclencher une guerre nucléaire.

Une politique de « destruction mutuelle assurée »

Alex Jones a expliqué que la doctrine militaire russe, tout comme celle des États-Unis, exige une réponse immédiate à toute attaque majeure contre leur territoire, même si cette attaque n’implique pas directement des armes nucléaires.

« Si vous positionnez des missiles hypersoniques à longue portée aux frontières de la Russie, cela sera interprété comme une attaque nucléaire imminente. C’est une folie totale. »

Jones a souligné que l’escalade actuelle rappelle les tensions de la crise des missiles de Cuba, mais sans les canaux de communication nécessaires pour éviter le pire.

Les accusations contre le « Deep State » et l’OTAN

Selon Alex Jones, les véritables architectes de cette stratégie sont les élites du « Deep State » et les dirigeants de l’OTAN, qui utilisent le conflit ukrainien comme un moyen d’intensifier les tensions globales. Il accuse également des figures influentes comme Alexander Soros, fils du contributeur de l’agenda 2030, George Soros, de célébrer publiquement ces développements.

« Nous sommes à deux doigts d’une guerre mondiale déclenchée par des provocations insensées. Ce n’est pas l’Ukraine qui contrôle la situation, c’est l’OTAN. »

Une mise en garde contre un effondrement global

Alex Jones a décrit un scénario apocalyptique où une guerre nucléaire entre grandes puissances entraînerait une réaction en chaîne impliquant d’autres nations. Il a notamment mentionné :

  • Le Pakistan et l’Inde : un conflit nucléaire potentiel exacerbé par les tensions régionales.
  • Israël et l’Iran : une confrontation dans le Moyen-Orient pourrait rapidement dégénérer.
  • Les États-Unis et la Russie : des représailles dévastatrices impliquant des sous-marins nucléaires positionnés stratégiquement.

Une alternative proposée : Trump comme solution

Pour Alex Jones, Donald Trump est le seul capable de désamorcer cette situation. Il a rappelé que sous l’administration Trump, les États-Unis n’ont pas été impliqués dans de nouveaux conflits majeurs, contrairement à aujourd’hui.

« Trump savait maintenir la paix tout en mettant l’Amérique en première place. Ce que nous voyons aujourd’hui est une tentative désespérée de l’establishment pour l’empêcher de revenir au pouvoir. »

L’émission d’Alex Jones souligne une inquiétude croissante concernant l’escalade des tensions internationales sous la présidence de Joe Biden. Tandis que Trump appelle à un retour à la paix et à une restructuration de la politique étrangère américaine, Jones alerte sur les conséquences potentiellement catastrophiques d’une Troisième Guerre mondiale.

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