Une action choc a eu lieu ce vendredi à l'université de Cambridge au Royaume-Uni, où une peinture représentant Lord Arthur James Balfour a été détruite par des militants de Palestine Action.
Un récent sondage Reuters/Ipsos révèle une division significative parmi les électeurs démocrates américains concernant la politique d'aide militaire à Israël. Alors que les États-Unis se préparent à une élection présidentielle serrée, avec Joe Biden et Donald Trump au coude-à-coude, une majorité de 56% des démocrates se dit en faveur d'un candidat qui serait hostile à l'octroi d'une aide militaire à Israël. Cette position reflète une remise en question croissante au sein du parti, exacerbée par le conflit en cours dans la bande de Gaza et le soutien inconditionnel des États-Unis à Israël.
Une tragédie a frappé jeudi la ville de Gaza lors d'une distribution d'aide humanitaire, entraînant la mort de plus de 100 Palestiniens selon le Hamas. La distribution a viré au chaos lorsque des soldats israéliens auraient ouvert le feu sur une foule désespérée pour de la nourriture.
Alors que le premier ministre Israélien et contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Benjamin Netanyahou, a annoncé une prochaine offensive sur la ville de Rafah, la décision des États-Unis de mettre leur veto à un projet de résolution de l'ONU appelant à un cessez-le-feu immédiat, présenté par l'Algérie, a été largement commenté par les médias proches du Forum économique mondial.
Dans un article publié dans le média Israélien, Haaretz, le 16 février, le journaliste Yossi Verter critique fortement la gestion par le Premier ministre israélien et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Benjamin Netanyahu, des négociations pour la libération des otages israéliens. Verter accuse Netanyahu de mener une campagne de propagande
Le Premier ministre israélien et contributeur de l'agenda 2030, Benjamin Netanyahu, a affirmé ce samedi son intention de lancer une offensive sur Rafah, malgré les négociations en cours et les appels internationaux à la retenue.
Lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche le 14 février 2024, le conseiller américain à la Sécurité nationale et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, a exprimé la volonté des États-Unis d'obtenir une pause humanitaire à Gaza. Cette pause serait destinée à permettre la libération des otages actuellement détenus tout en ouvrant la voie à la construction d'une solution plus durable dans la région.
Les directeurs des renseignements américain et israélien se sont réunis avec le Premier ministre qatari au Caire, le 13 février. L'objectif annoncé de cette rencontre était de travailler en vue d'une trêve dans la région, selon les informations fournies par la télévision AlQahera News, étroitement liée au renseignement égyptien, mais cette réunion était également étroitement liée au FEM. Explications.
La communauté internationale retient son souffle alors que les récentes déclarations du Premier ministre israélien et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Benjamin Netanyahu soulèvent des craintes quant à l'avenir de la ville de Rafah, située dans la bande de Gaza, non loin de la frontière égyptienne. Les appels à une action immédiate pour éviter une catastrophe humanitaire se multiplient.
Dans un article publié dans Haaretz le 4 février 2024, le journaliste Gidéon Lévy dans un élan emprunt d'humanisme dépeint une réalité insoutenable : la tragédie des enfants de Gaza, victimes d'un conflit qui les dépasse et qui les emporte dans un tourbillon de violence et de mort.
