Alors que les élections européennes 2024 battent leur plein, l’épouvantail de l’extrême droite est brandit dans toute l’Europe, par les parties proches du Forum économique mondial.
La Slovaquie a commencé à voter samedi, dans un climat tendu après la tentative d’assassinat du Premier ministre Robert Fico le 15 mai. Fico, connu pour ses positions anti-LGBT, antilibérales et pro-russes, avait désengagé son pays de l’aide à l’Ukraine. Il prône une présidence slovaque qui ne mènera pas le pays à la guerre, en contraste avec les « bellicistes de Bruxelles ». Son agresseur, Juraj Cintula, est supposé proche de l’extrême droite.
Le commissaire européen slovaque et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Maros Sefcovic, affirme aujourd’hui sur X que « Seule une UE plus forte peut transformer les défis en opportunités. »
Danemark : Une agression avant les élections
À deux jours des élections, la Première ministre danoise Mette Frederiksen, également contributrice du FEM, a été agressée à Copenhague.
Italie : La Montée des Souverainistes
En Italie, le journal La Repubblica dont le directeur de publication n’est autre autre que le contributeur du FEM, Maurizio Molinari, titre, « Les souverainistes à l’assaut de l’UE ». Pourtant la cheffe du parti post fasciste Fratelli d’Italia, qui est le favori des élections ferait partie des Instituts Aspen, dirigé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Daniel R. Porterfield. La dirigeante italienne est d’ailleurs courtisée par la présidente de la commission européenne et contributrice du FEM, Ursula Von der Leyen, pour ses positions pro-Ukraine.
Pays-Bas : Les sondages alertent sur une poussée de l’Extrême Droite
Aux Pays-Bas dirigés par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Mark Rutte le favori pour succéder au contributeur du FEM, Jens Stoltenberg, à la tête de l’OTAN, les sondages évoquent une poussée de l’extrême droite, même si elle serait devancée par la coalition sociale-démocrate et écologiste.
France : L’Extrême Droite cible des politiques proches du FEM
En France, au mois de mars, un sondage réalisé au mois de décembre en plein débat sur la loi immigration a refait surface. Il avait été commandé par les LR à IPSOS, l’Institut de sondage, membre du Forum économique mondial et donnait le RN en tête à l’Assemblée Nationale dans l’hypothèse d’élections législatives anticipées. C’est l’OBS, qui appartient à la Holding Le Monde Libre, de Matthieu Pigasse et Xavier Niel, gendre de Bernard Arnault, le président du groupe LVMH affilié au FEM, qui s’était chargé de l’exhumé.
En France, le parti Renaissance du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, désigne l’extrême droite comme ennemi principal, une stratégie critiquée cette semaine comme un calcul politique, par la sénatrice EELV, Mélanie Vogel. Toutefois, lors de son meeting à Lyon, la tête de liste écologiste, Marie Toussaint, à elle aussi désigné l’extreme droite comme ennemi. Elle siège à l’Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI), qui a été présidé par Jean Jouzel, puis par Michel Eddi, tous deux contributeurs de l’agenda 2030 du FEM et qui est dirigé par Sébastien Treyer qui succède aux contributrices du Forum, Laurence Tubiana et Teresa Ribera. Même chose du côté des Socialistes de Rapahël Glucksmann, gendre du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Ghassan Salamé, qui appelle à une europe de la Défense comme Macron.
