Lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche le 14 février 2024, le conseiller américain à la Sécurité nationale et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Jake Sullivan, a exprimé la volonté des États-Unis d’obtenir une pause humanitaire à Gaza. Cette pause serait destinée à permettre la libération des otages actuellement détenus tout en ouvrant la voie à la construction d’une solution plus durable dans la région.
Alors que le chef de la CIA et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, William Burns, ainsi que le chef du Mossad, David Barnea ont rencontré le chef du gouvernement du Qatar et contributeur du FEM, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, pour discuter d’une trêve à Gaza et que le président de l’Autorité palestinienne et contributeur du FEM, Mahmoud Abbas, a exhorté ce mercredi le Hamas à «conclure rapidement» un accord, un nouveau contributeur du FEM, se déclare à une pause humanitaire.
Il s’agit du conseiller américain à la Sécurité nationale, Jake Sullivan. « Nous cherchons à obtenir une pause temporaire dans le cadre de l’accord sur les otages, puis à construire sur cette base quelque chose de plus durable », a-t-il déclaré, soulignant que les détails précis de cette initiative, notamment les paramètres et la manière dont le Hamas serait impliqué, nécessiteraient une collaboration étroite avec les partenaires américains en Israël ainsi qu’avec d’autres acteurs régionaux.
« Selon cette approche, il y aurait plusieurs phases dans le processus de libération des otages, avec une transition progressive vers des périodes de pause prolongées », a ajouté Sullivan.