You are currently viewing Paris : Une référence au film « Sous la Seine » diffusé sur Netflix lors de la baignade d’Anne Hidalgo
Image : Compte Instagram d'Alix Girod de l’Ain.

Paris : Une référence au film « Sous la Seine » diffusé sur Netflix lors de la baignade d’Anne Hidalgo

Alors que la maire de Paris et contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Anne Hidalgo nageait dans la Seine, un événement très médiatisé à l’approche des Jeux Olympiques de Paris 2024, les caméras des journalistes ont pu filmer un faux aileron de requin sur le dos d’une nageuse. La scène faisait écho à la récente sortie du film « Sous la Seine » sur Netflix, la plateforme de streaming membre du FEM.

Alors qu’Anne Hidalgo nageait sans encombre, une autre nageuse a attiré l’attention avec un faux aileron de requin fixé sur sa combinaison. Cet aileron était porté par la journaliste, Alix Girod de l’Ain, qui travaille pour le magazine Elle, de Daniel Kretinsky.

Cette dernière a partagé des images de sa blague en story sur son compte Instagram.

Netflix France semblait suivre avec attention la baignade d’Anne Hidalgo, puisque la plateforme de streaming affilié au FEM, a pas manqué de commenter la baignade d’Anne Hidalgo avec un émoji d’yeux sur X.

Il faut dire que la plateforme a proposé en exclusivité le film, « Sous la Seine », sorti le 5 juin dernier. Ce film de Xavier Gens, mettant en vedette Bérénice Bejo, raconte l’histoire d’un grand requin aperçu dans la Seine durant le championnat du monde de triathlon à l’été 2024, menaçant la compétition et une opération de communication de la mairie de Paris.

Dans ce film, le requin est une femelle, tout comme son bébé et les deux spécimens peuvent se reproduire seules, suivant le mode de reproduction de la parthénogenèse, la division à partir d’un gamète femelle non fécondé. 

De quoi attester encore un peu plus la thèse d’Elon Musk, qui oppose les « humanistes » et les « extinctionnistes », qui promeuvent tout ce qui peut limiter la baisse de la natalité mondial. Comme nous l’avons vu, la guerre entre les sexes, semblent au coeur de l’agenda mondial et elle est forcément synonyme de baisse de la natalité, en attendant que la parthénogenèse, ne se soit démocratisée.

Laisser un commentaire