L’eurodéputée RN, Virginie Joron, a réagi sur X au sujet de la lettre officielle adressée par Mark Zuckerberg, PDG de Meta, au président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants des États-Unis, dans laquelle il révèle notamment des pressions de l’administration Biden-Harris pour censurer certains contenus pendant la pandémie de COVID-19.
Dans soin tweet, Virginie Joron qui se bat au parlement européen pour faire la lumière sur les contrats signés dans le cadre des vaccins anticovid relève que « MarkZuckerberg admet que l’administration Biden – Harris a fait pression pour qu’il censure plusieurs contenus au moment de la pandémie de COVID », qu’il « reconnaît qu’il a succombé à ces pressions à plusieurs reprises, privant ainsi les citoyens américains de leur droit constitutionnel à une information libre et transparente » et qu’il a « certifié avoir empêché la diffusion de la nouvelle concernant l’ordinateur du fils de Biden, Hunter publiée par le New York Post quelques jours avant les élections présidentielles de 2020, en s’appuyant sur les vérificateurs de faits de #Meta qui ont validé la version du FBI ».
L’eurodéputée RN, souligne que Zuckerberg a exprimé « ses regrets pour ce qui s’est passé et a déclaré qu’il modifiait les règles relatives aux vérificateurs de faits ».
Elle évoque un aveu d’une « gravité sans précédent », dans un contexte marqué par l’arrestation de Durov, « les potentiels censeurs de la loi sur le service numérique en vigueur dans l’Union européenne, ainsi que d’autres épisodes récents », comme les démêlées de C8 et CNEWS avec l’Arcom par exemple. Selon elle, « La liberté d’expression sous couvert de “lutte contre la désinformation” est en danger dans les démocraties occidentales ».
