Jean-Noël Barrot, figure montante de la politique française et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique monial est pressenti pour devenir le chef de la Diplomatie Française. Après une carrière marquée par son passage au Numérique et en tant que ministre délégué à l’Europe, le fils de l’ancien commissaire européen Jacques Barrot se prépare à faire face aux défis de la diplomatie mondiale.
À seulement 41 ans, Jean-Noël Barrot a gravi les échelons rapidement. Nommé ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications le 4 juillet 2022, en remplacement de Cédric O, frère de la contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Delphine O, il est reconduit lors du remaniement du 20 juillet 2023 en tant que ministre délégué chargé du Numérique, fonction qu’il occupe jusqu’à la démission du gouvernement Borne. Il a ensuite été nommé en février dernier au Quai d’Orsay à la faveur d’un remaniement du gouvernement, pour remplacer la contributrice du FEM, Laurence Boone. mais alors que celle-ci n’était « que » secrétaire d’Etat, Barrot a été nommé ministre délégué, dans le gouvernement de Gabriel Attal, membre du groupe Bidlerrberg, un costume taillé sur mesure, pour cet européen « Européen convaincu ».
Un héritage européen
Jean Noël Barrot est en effet le fils de Jacques Barrot, ancien commissaire européen et proche de Valéry Giscard d’Estaing et Raymond Barre, membres du groupe Bilderberg, qui a également travaillé avec du côté de la Haute-Loire avec Laurent Wauquiez, Young Leader de la Fondation France Amérique, fondée par VGE et Gérald Ford, un autre membre du groupe Bilderberg.
Un héritage européen et une approche stratégique
Au numérique, Barrot Jr, s’est imposé comme un grand partisan de la régulation des réseaux sociaux et par la même occasion, comme un adversaire de la liberté d’expression, ayant menacé à plusieurs reprises Twitter d’exclusion du marché européen. Lors des émeutes de 2023, il avait par exemple obligé des plateformes comme Twitter et TikTok à retirer des contenus incitant à la violence.
Il s’est également imposé dans les discussions européennes, notamment durant la campagne des élections européennes où il a brandi la menace de potentielles interférences étrangères, notamment russes.
Un baptême du feu à l’ONU ?
S’il est confirmé au poste de ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot devrait rapidement se rendre à New York, à l’Assemblée générale des Nations Unies, du contributeur de l’agenda 2030 du FEM et membre du groupe Bilderberg, Antonio Guterres. Ce premier test sera crucial pour affirmer sa position et établir la place de la France sur la scène internationale.
Les attentes sont élevées, notamment après le départ de Catherine Colonna et la brève présence de Stéphane Séjourné au même poste. Les diplomates espèrent que Barrot pourra ramener la stabilité nécessaire au Quai d’Orsay, tout en renforçant la coopération franco-allemande, qu’il considère comme essentielle pour une Europe forte. La cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbock, est également proche du FEM, ce qui pourrait aider.
Barrot a déjà montré sa capacité à manœuvrer sur la scène internationale, notamment lors de la conférence de sécurité de Munich et de plusieurs rencontres européennes stratégiques. S’il est nommé, il devra rapidement prendre en charge des dossiers brûlants tels que la guerre en Ukraine, du contributeur du FEM, Zelenski, les tensions au Moyen-Orient, avec comme protagonistes, Netanyahou et Mahmoud Abas, eux aussi proche du FEM, et la crise en Haïti, du Premier ministre et contributeur de l’agenda 2030, Garry Conille.