Le sénateur Républicain, Marco Rubio et six de ses collègues ont adressé une lettre au PDG de Pfizer et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Albert Bourla, afin de l’interrogé sur la position du géant pharmaceutique sur le suicide assisté et l’euthanasie compte tenu du fait que Pfizer aurait réalisé des dons auprès du groupe de lobbying Dying with Dignity Canada.
Selon le sénateur républicain de Floride Marco Rubio, un récent rapport a révélé l’assistance financière de Pfizer à Dying with Dignity Canada (DWDC), un lobby qui milite entre autre, pour élargir l’éligibilité à la « mort médicalement assistée » jusqu’aux enfants dès l’âge de 12 ans, soulevant des questions sur sa position concernant le suicide assisté. Par ailleurs, le lobby de l’euthanasie du Canada reçoit d’importantes sommes d’argent du gouvernement fédéral canadien, dirigé par le contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Justin Trudeau.
D’après Rubbio, « La pratique de la ‘mort médicalement assistée’ contredit l’objectif déclaré de Pfizer» consistant à « apporter des innovations pour changer la vie des patients ». « Comme Pfizer a reçu des millions de dollars des contribuables américains pour développer des traitements et mener des recherches médicales, Pfizer doit être totalement transparent envers le gouvernement fédéral et le public américain quant à sa position sur la mort médicalement assistée. »
Parmi les signataires de la lettre, on retrouve les sénateurs Ted Cruz, Mike Braun, Brad Wenstrup, Chris Smith, Josh Hawley et JD Vance, celui là même qui avait déjà alerté sur l’utilisation de l’aide militaire à l’Ukraine.
Les sénateurs demandent également pourquoi « un tel don a-t-il été fait par Pfizer et non par ses actionnaires individuels ? ». Les sénateurs souhaitent aussi savoir, si Pfizer « fabrique et/ou vend actuellement des produits utilisés pour la ‘mort médicalement assistée’ aux États-Unis ou ailleurs? » et « Si oui, Pfizer soutient-il des groupes comme DWDC afin d’augmenter la demande de ses produits sur le marché ? »
Les élus Républicains demandant également si Pfizer considère la « mort médicalement assistée », « comme une méthode légitime pour aborder les changements climatiques, les défis environnementaux ou les problèmes sociaux ?»