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Tucker Carlson et Vladimir Poutine. Photo : @Mario Nawfall.

Un complot pour assassiner Tucker Carlson aurait été déjoué à Moscou

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Tucker Carlson, le célèbre journaliste américain, aurait été la cible d’une tentative d’assassinat à Moscou, ville dans laquelle il s’était rendu à la fin du mois de janvier pour interviewé Vladimir Poutine. 

« Un homme vient d’être arrêté à Moscou, accusé d’avoir été payé par le renseignement ukrainien pour placer un engin explosif sur le véhicule de Tucker Carlson et assassiner le célèbre journaliste américain… » a indiqué sur X le 26 février, le journaliste de Today News Africa, Simon Ateba.

Ateba annonçait dans la foulée qu’« Un homme vient d’être arrêté à Moscou, accusé d’avoir été payé par les renseignements ukrainiens pour poser un engin explosif sur le véhicule de Tucker Carlson ». « L’homme a affirmé qu’on lui avait promis 4 000 $ pour tuer Carlson. »

Une information confirmée par l’homme d’affaire Mario Nawfal qui a précisé sur le même réseau social, que « Les forces russes auraient arrêté un homme pour une attaque planifiée contre Tucker, prétendument orchestrée par les renseignements ukrainiens ». « Le complot aurait impliqué un engin piégé ciblant le véhicule de Carlson à l’hôtel Four Seasons. »

L’homme d’affaire américain citait comme source le média indépendant « The Intel Drop », qui se présente comme une source d’information comprenant des professionnels du renseignement actifs et à la retraite déplorant la censure et la propagande présentée au grand public.

Le média américain knewz.com, créée par News Corp, le groupe de média affilié au Forum économique mondial, estime toutefois que cette source est « peu fiable ». Knewz rappelle en effet qu’un « fact check » de Newsweek publié le jeudi 29 février soulignait que « The Intel Drop » avait évoqué en mars dernier la « destruction d’un centre de commandement de l’OTAN caché qui n’a jamais été confirmée ». Newsweek en a conclu que The Intel Drop est « pro-russe » et enclin à partager « d’autres théories du complot anti-ukrainiennes trompeuses ». Newsweek avait été racheté en 2014 par IBT Media, une organisation mondiale américaine d’information numérique qui appartenait au Français Etienne Uzac et Johnathan Davis, tous deux proches du controversé pasteur évangéliste, David Jang. Fin 2018, le magazine redevenait toutefois indépendant, après une perquisition dans les locaux d’IBT Media.

Ateba aurait depuis expliqué selon knews.com, qu’il était « attaqué par des médias de désinformation pro-ukrainiens ». « Je n’ai pas d’agenda », aurait précisé Ateba. «Je reflète simplement l’opinion du peuple. »

L’information a toutefois été validée par l’ancien conseiller à la sécurité nationale Mike Flynn, qui appelle à « des réforme sévères », des agences de Renseignements américains.

Elle aurait également été confirmé selon knews.com par la représentante républicaine de Géorgie, Marjorie Taylor Greene, qui jugerait cela comme « extrêmement terrifiant ».

Selon le média de News Corp, « Radar Online a ajouté que les conseillers juridiques de Carlson avaient mis en garde contre un voyage à Moscou début février, car les autorités américaines pourraient l’arrêter ».

Selon un tweet de Mario Nawfal, Carlson aurait confirmé que l’Ukraine, l’aurait mis sur une liste de personnalités à tuer « immédiatement ».

Carlson a également ajouté que les grands médias américains avaient fait subir un « lavage de cerveau » à la population pour lui faire croire que l’Ukraine allait gagner la guerre.

« Je déteste la guerre, et quiconque ne déteste pas la guerre ne devrait pas avoir le pouvoir, à mon avis. », a-t-il ajouté chez Lex Fridman.

Le journaliste américain a également indiqué que Poutine « avait l’air nerveux » lors de l’entretien et « ce n’est pas la bonne façon de se lancer dans une interview ».

Il a également précisé avoir essayé d’interroger l’ancien Premier ministre britannique et contributeur du FEM, Boris Johnson, à propos de la guerre en Ukraine, après que ce dernier l’ait « dénoncé comme un outil du Kremlin », ajoutant que Johnson avait alors « exigé un million de dollars ».

En attendant le journaliste américain, Simon Ateba, a indiqué sur X, qu’il partait se relaxer à Hawaï, preuve que la tension est à son comble aux Etats-unis.

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