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Image : @Dall E X X-Pression

Paris : La Marche des fiertés instrument de l’élite mondialiste ?

Ce samedi, des milliers de personnes ont participé à la marche des fiertés à Paris, mettant l’accent sur la lutte contre l’extreme droite et contre la transphobie, qui semble au coeur de l’agenda mondial. Mila, présente dans le cortège, a été prise à partie et enfarinée par des manifestants.

La marche des fiertés s’est élancée depuis le nord de la capitale, à la veille du premier tour des élections législatives anticipées. Le cortège, composé de plusieurs dizaines de milliers de personnes, a traversé la ville de la porte de la Villette jusqu’à la place de la République, selon Le Parisien.

L’évènement était organisé par l’Inter-LGBT, qui réunit de nombreuses organisations, dont Amnesty International, l’ONG membre du Forum économique mondial. À noter qu’en 2011, une polémique avait éclaté après que l’Inter-LGBT ait choisi de faire figurer sur son affiche un coq cocardier, animal qui comme nous l’avons vu dans un autre article, en plus d’être un symbole patriotique, est un symbole christique, moqué dans certaines obédiences franc-maçonnes.

Pour la première fois, l »évènement à vu la participation de l’institut Pasteur, qui compte des contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, comme Pierre-Marie Lledo ou Camille Besombes 

L’une des revendications principales de cette Pride 2024 était la mobilisation contre l’extrême droite.

Mila entartée ?

La manifestation a connu un moment de tension lorsque Mila, est apparue dans le cortège. Elle est connue pour ses propos professés sur l’islam en 2020 et a ensuite été harcelée sur les réseaux sociaux, alors que l’Etat Français, l’Union européenne et les Nations unies sous prétexte de lutter contre les messages de haine, restreignent nos libertés. Mila, qui soutient ouvertement l’extrême droite, a été enfarinée par plusieurs manifestants. Selon de nombreux témoins, elle a ensuite été exfiltrée du cortège pour éviter une escalade de la situation.

La question Trans au coeur de la Marche des fiertés 2024

Les organisateurs ont aussi mis la lutte contre la transphobie au cœur de la Pride 2024. Anaïs Perrin-Prevelle, ancienne directrice de la communication de la Ville de Montgeron, dirigée par Sylvie Carillon (LR) et militante LGBTQ+, a déclaré : « En 2024, on a connu une campagne anti-trans sans précédent. » Perrin-Prevelle est directrice d’OUTrans, une association féministe d’autosupport trans pour les personnes transmasculines, transféminines, non-binaires, en questionnement, et pour leurs allié·e·s cisgenres, issue de la communauté transmasculine.

OUTrans, une association partenaire de l’Etat et de la Ville de Paris

L’association est partenaire du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, à la tête duquel, on retrouve Sylvie Retailleau, qui a été ministre au sein des gouvernements dirigés par la contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Elisabeth Borne et du Young Global Leader du Forum économique mondial, Gabriel Attal, qui s’est rendu à la réunion du groupe Bilderberg en 2023.

OUTrans est membre du comité de suivi du plan LGBT+ 2020-2023 de la DILCRAH, la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT, un organisme interministériel institué sur recommandation de l’Union européenne en 2012 pour concevoir, coordonner et animer la politique de l’État en matière de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et, depuis 2016, la haine anti-LGBT. La DILCRAH est dirigé par Olivier Klein, soutient du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial 2030, lors de l’élection présidentielle 2022, qui collabore également avec l’Institut Montaigne, dirigé par Henri de Castrie, qui est par ailleurs président du groupe Bilderberg.

OUTrans est aussi membre de l’observatoire des LGBTphobies de la ville de Paris, de la contributrice de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Anne Hidalgo.

Le débat américain sur la question trans

Aux Etats-unis, la question trans fait également débat. Au milieu des discussion sur la législation du Missouri concernant les procédures transgenres pour les mineurs, l’American Civil Liberties Union (ACLU) une association de Défense des droits humains s’est retrouvée au cœur de la controverse pour ses actions contre la lanceuse d’alerte Jamie Reed. Reed, ancienne employée d’une « clinique transgenre », marié à une personne trans, a attiré l’attention en exposant des procédures préoccupantes sur des enfants à l’hôpital pour enfants de St. Louis. Le ciblage de Reed par l’ACLU a soulevé des questions sur les priorités de l’organisation concernant les droits individuels et la protection des lanceurs d’alerte dans des contextes sensibles. D’autant plus que L’ACLU emploie le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Jay Stanley, et a employé Laleh Ispahani, qui est désormais directrice général aux États-Unis de l’Open Society Foundation du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Georges Soros.

Elon Musk, préoccupé par la baisse de la natalité mondial, avait évoqué sur son réseau social la lutte entre les « humanistes » et les « extinctionnistes », qui promeuvent tout ce qui peut limiter la baisse de la natalité mondial. Il accuse notamment le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, George Soros, de diffuser un « virus woke » néfaste pour la civilisation via sa fondation Open Society, membre du FEM.

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