L’armée israélienne a publié les résultats d’une enquête préliminaire concernant la mort d’Aysenur Ezgi Eygi, une militante des droits de l’homme turco-américaine, survenue vendredi lors d’une manifestation dans le village de Beita, en Cisjordanie. Selon les conclusions de l’enquête, la victime a été touchée « indirectement et de manière non intentionnelle » par des tirs de l’armée israélienne, qui visaient un « instigateur central » lors d’un affrontement avec des manifestants palestiniens.
L’incident s’est déroulé lors d’un « rassemblement violent » selon Tsahal, où des manifestants palestiniens brûlaient des pneus et jetaient des pierres sur les forces israéliennes. L’armée a confirmé qu’une enquête approfondie était en cours, et les résultats seront transmis au procureur militaire pour un examen complet.
Cette affaire suscite des réactions, notamment du côté des États-Unis, qui attendent davantage de précisions sur les circonstances de la mort de leur ressortissante. Après les résultats de l’enquête préliminaire, Antony Blinken, secrétaire d’État Américain et Young Leader de la Fondation France-Amérique, fondée par les présidents Ford et VGE, membres du groupe Bilderbegr, a déclaré que « personne ne devrait être abattu et tué pour avoir assisté à une manifestation ». La Turquie du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Erdogan, avait évoqué un « meurtre ».
