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L'eurodéputé allemande, Christine Anderson. Photo : Monoceros Prudentis/Wikipedia

L’eurodéputée allemande, Christine Anderson, critique le refus d’Ursula Von der Leyen et d’Albert Bourla de répondre au Comité COVID sur le « Pfizergate »

Dans un récent épisode du podcast The Highwire with Del Bigtree, Christine Anderson, eurodéputée allemande de l’AfD, a indiqué que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, tous deux contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, refusaient de se présenter devant le Comité Covid du Parlement européen, alors que le procureur européen a ouvert une enquête l’année dernière suite aux SMS échangés entre ces deux personnalités concernant les négociations des contrats anti covid.

Anderson a confirmé que l’enquête du procureur européen cible bien personnellement, Ursula Von Der Leyen, mais que son mari Heiko Von Der Leyen, directeur scientifique chez Orgenesis, une biotech spécialisée dans les thérapies cellulaires et géniques, qui a bénéficié de subventions de l’UE et Albert Bourla, en ont également « profité(s) ».

La députée Anderson a également mentionné que Von der Leyen avait refusé à plusieurs reprises de se présenter devant le Comité COVID du Parlement européen pour répondre aux questions concernant ces transactions. Albert Bourla aurait également décliné des invitations similaires. Anderson dénonce cette absence, affirmant que seule la divulgation complète des messages échangés pourrait faire la lumière sur ces accords.

De plus, Anderson a fait remarquer que von der Leyen avait négocié des contrats pour 4,6 milliards de doses de vaccin, soit suffisamment pour couvrir près de la moitié de la population mondiale. Elle pose la question de savoir pourquoi un tel nombre de doses a été acheté, supposant une connaissance préalable d’informations non partagées avec le public.

Pour Anderson, cette situation appelle à une clarification urgente, car les représentants élus ont besoin de réponses pour faire leur travail correctement. Selon elle, le refus d’Ursula von der Leyen de se présenter devant le Parlement empêche les représentants de remplir leur rôle en toute transparence. Anderson a exprimé sa frustration envers le Parlement européen, « dont le rôle premier est de contrôler », qui, selon elle, n’a pas soutenu ses appels pour obtenir des réponses de la présidente de la Commission européenne. « Cela montre bien qu’ils sont tout aussi corrompus qu’Ursula von der Leyen. »

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