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Robert Ménard. Image : @Capture d'écran LCI.

Le soutien de Robert Menard aux velléités de guerre de Macron, et les liens de RSF avec le FEM

Le maire de Béziers et cofondateur de l’association Reportes Sans Frontières, Robert Menard, soutiens le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, dans son choix d’envoyer des troupes en Ukraine. Sous sa présidence, comme aujourd’hui, RSF a entretenu et entretien des liens avec le FEM. Explications.

Il y a deux mois, Ménard, avait déjà applaudit sur BFMTV le « parler-vrai » d’Emmanuel Macron, quand le président entretenait le flou sur l’envoi de troupes sur le théâtre des opérations.

Sur LCI, Robert Menard a confié que depuis, il se faisait interpeller par des gens lui demandant s’il est « prêt à ce que des jeunes garçons et des jeunes filles se fassent tuer pour l’Ukraine » et sa réponse est « oui ». « Eh oui la guerre, çà a des conséquences, et en général des conséquences difficiles, mais il faut l’accepter, l’admettre, et c’est çà la grandeur des politiques, c’est de temps en temps, aller un peu plus loin que l’intérêt au quotidien des gens qu’ils représentent.« 

Le maire de Béziers connu pour ses positions radicales qui se manifestent par l’instauration d’un couvre-feu après 23 heures pour les mineurs de moins de 13 ans, ou le refus de marié un homme sous le coup d’une OQTF, est le cofondateur et ancien secrétaire générale de RSF, l’association qui a pour objectif la défense de la liberté de la presse et la protection des sources des journalistes, actuellement présidée par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Christophe Deloire. Celui-ci a obtenu en février de la part du Conseil d’État qu’il enjoigne l’Arcom à mettre en demeure CNEWS « de se conformer à ses obligations en matière de pluralisme et d’indépendance de l’information », alors que la chaine critiquait de plus en plus les déclarations va-t-en guerre d’Emmanuel Macron.

Fils d’un syndicaliste communiste devenu membre de l’OAS, Robert Ménard, est passé par les milieux anarchistes, puis trotskistes, avant de devenir militant au sein de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), de 1973 à 1979 et de rejoindre le Parti socialiste, via le Centre d’études, de recherches et d’éducation socialiste. Le CERES a été fondé en 1966 par Jean-Pierre Chevènement, Alain Gomez et Didier Motchane, qui étaient alors de jeunes militants situés à l’aile gauche du PS, qui s’appelait encore la SFIO et qui était dirigée depuis le congrès de 1946 par Guy Mollet. Celui-ci figure dans la base de donnée référençant les personnalités qui se sont rendus à l’une des réunions du groupe Bilderberg, établie par Aleksander Zielinsky, de l’université de Fribourg. Il démissionnera du PS six mois après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République en 1981.

Robert Ménard confonde ensuite l’association Reporters Sans frontières, qu’il présidera jusqu’en 2008. En 2006, RSF était soutenu par l’Open Society, la fondation affiliée au Forum économique mondial, du milliardaire et contributeur du FEM, George Soros, le Center for a Free Cuba, une organisation américaine chargée de rassembler et disséminer des informations à propos de Cuba et des Cubains dans les médias, les ONG, et la communauté internationale, ou le National Endowment for Democracy une fondation créée sous le gouvernement Ronald Reagan lors de l’opération « White propaganda » (propagande blanche), qui avait pour objectif le « renforcement et le progrès des institutions démocratiques à travers le monde » ou encore la Fondation Ford, qui est membre du Forum économique mondial et fait toujours partie des mécènes de RSF.

Reporter Sans Frontières est toujours financé par des multinationales affiliées au Forum économique mondial, comme American Express, La Société Générale ou Salesforce. On peut également citer l’UNESCO, l’agence des Nations unies, La Swedish International Development Agency, l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), trois organisations affiliées au Forum économique mondial. On peut également relevé la présence parmi les mécènes de Radio France, dirigée par Sybile Veil, camarade de promo à l’ENA du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron et de Boris Vallaud-Belkacem, mari de la Young Global Leader du Forum économique mondial, Najat Vallaud-Belkacem ou du Conseil de l’Europe, présidé par le contributeur du FEM, Charles Michel. On peut également citer les Ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de La Défense.

Lorsqu’il était à la tête de RSF, Robert Ménard n’a pas hésité à rechercher des fonds auprès d’entreprises affiliés au Forum économique mondial, comme S pas à faire du lobbying auprès d’entreprises privées comme Sanofi ou Suez, afin de récolter des fonds pour accélérer la libération de la journaliste. Il a également socialité à plusieurs reprises Omar Harfouch, un proche de Kadhafi.

Robert Menard a d’ailleurs été décoré de la Légion d’honneur sur proposition de Bernard Kouchner, membre du club, Le Siècle, fondé par des Francs-maçons et aussi fréquenté par sa compagne Christine Ockrent, passée par le groupe Bilderberg et qui a fait partie du comité d’honneur de la Fondation France-amérique, par laquelle sont passés de nombreux contributeurs du FEM, comme Emmanuel Macron, François Hollande ou Bill Clinton.

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