Le président Français et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron, a détaillé ses nouvelles mesures pour promouvoir la natalité et améliorer l’accès à la procréation médicalement assistée (PMA) dans un entretien accordé au magazine Elle le 8 mai. Cette annonce fait partie d’un vaste plan de lutte contre l’infertilité, élaboré en janvier dernier, qui mettra l’accent sur la prévention, le parcours de soins et la recherche. Elle intervient à un moment où la natalité est au coeurs de l’actualité et de l’agenda mondial. Explications.
Ce plan vise à répondre aux préoccupations relatives au taux de natalité actuel en France, qui est de 1,8 enfant par femme, bien en dessous du taux de désir de 2,3. Il vise également à garantir que chaque famille puisse réaliser ses projets parentaux en dépit des défis liés à l’infertilité et aux contraintes sociétales.
Un « check-up fertilité » à 20 ans
Le président a proposé un « check-up fertilité » pour les jeunes autour de l’âge de 20 ans, afin de réaliser un bilan complet, incluant des analyses telles que le spermogramme et la réserve ovarienne. Ce bilan serait entièrement remboursé par l’assurance maladie. Des campagnes d’information pour encourager l’autoconservation des ovocytes seront également organisées pour les femmes souhaitant reporter la maternité.
Faciliter le recours à la PMA
Pour réduire les délais d’attente pour accéder à la PMA, qui peuvent actuellement atteindre 16 à 24 mois, Emmanuel Macron a prévu d’ouvrir aux centres privés l’autoconservation ovocytaire, précédemment limitée aux établissements hospitaliers.
Nouveau congé parental
Dans cette interview, le président a réitéré les détails du futur congé parental, qui devrait entrer en vigueur fin 2025. Les parents pourront bénéficier d’un congé rémunéré de trois mois, que ce soit pour les mères ou les pères, pouvant être cumulé durant la première année de l’enfant et indemnisé à hauteur de 50 % du salaire, avec un plafond fixé à 1 900 euros.
Opposition à la gestation pour autrui (GPA)
Emmanuel Macron a réaffirmé son opposition à la gestation pour autrui (GPA), la considérant incompatible avec la dignité des femmes et assimilable à une forme de marchandisation du corps féminin. Cependant, il souligne l’importance de respecter les familles dont les enfants sont nés par GPA à l’étranger.
Réponse à la polémique sur la GPA
Cette déclaration intervient après une récente polémique déclenchée par un tweet de Marion Maréchal, candidate de Reconquête aux élections européennes, critiquant la paternité du créateur de mode Simon Porte Jacquemus par GPA. Macron a exprimé son choc face à cette polémique, dénonçant « l’homophobie de certains partis politiques français. »
La question de la natalité au coeur de l’agenda mondial
Elle intervient également à la sortie du dernier livre d’Elisabeth Badinter, veuve de Robert Badinter et fille de Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de Publicis, le groupe publicitaire français, qui est affilié au Forum économique mondial, dans lequel, elle met en garde contre la baisse continue de la natalité, qu’elle attribue aux hommes, une opposition des sexes qui ne devrait pas améliorer les choses.
Cette annonce intervient également après la désignation de Minima Gesté, une drag-queen française, pour porter la flamme olympique le 14 juillet lors des Jeux Olympiques de Paris 2024 a fait polémique sur les réseaux sociaux, important en France le débat qui fait rage aux Etats-unis, sur la transidentité. Si elle n’est pas une personne trans, Minima Gesté soutient cette communauté. Elon Musk, préoccupé par la baisse de la natalité mondial, avait évoqué sur son réseau social la lutte entre les « humanistes » et les « extinctionnistes », qui promeuvent tout ce qui peut limiter la baisse de la natalité mondial. Il accuse notamment le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, George Soros, de diffuser un « virus woke » néfaste pour la civilisation via sa fondation Open Society, membre du FEM.
Récemment, aux Etats-unis, une lanceuse d’alerte marié à une personne trans, ancienne employée d’une « clinique transgenre », a attiré l’attention en exposant des procédures préoccupantes sur des enfants à l’hôpital pour enfants de St. Louis situé dans le Missouri. Elle avait été ciblée par l’American Civil Liberties Union (ACLU) une association de Défense des droits humains, soulevant des questions sur les priorités de l’organisation concernant les droits individuels et la protection des lanceurs d’alerte dans des contextes sensibles. L’ACLU emploie le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Jay Stanley, et a employé Laleh Ispahani, qui est désormais directrice général aux États-Unis de l’Open Society Foundation du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Georges Soros.
En 2009, The Times publiait un article affirmant que « certains des principaux milliardaires américains s’étaient réunis secrètement pour examiner comment leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale », « une menace environnementale, sociale et industrielle ‘désastreuse’ « . Cette réunion du « Good Club » comprenait plusieurs contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial ou membres du groupe Bilderberg, comme Bill Gates, Georges Soros, Michael Bloomberg, et Oprah Winfrey. Par la suite, l’ancien président Français et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Nicolas Sarkozy, a donné de nombreuses conférences dans lesquelles il exprimait ses préoccupations sur l’explosion de la démographie dans le monde.