Des chercheurs japonais ont mis en lumière les risques potentiels associés aux transfusions sanguines provenant de receveurs du vaccin COVID à ARNm. Selon une étude préliminaire, ces transfusions pourraient poser des risques importants pour la santé, y compris des maladies graves et potentiellement mortelles. Les chercheurs appellent à des mesures de sécurité rigoureuses pour contrôler et sécuriser l’approvisionnement mondial en sang.

La deuxième version de l’étude intitulée Transfusions de produits sanguins dérivés des receveurs de vaccins génétiques : préoccupations de sécurité et propositions de mesures spécifiques, publiée ce mercredi 29 mai, revient sur les effets secondaires qui ont été constatés après la mise en place du « programme mondial de vaccination génétique », soulignant que les ARNm modifiés codant pour les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques peuvent causer divers troubles, y compris des thromboses et des maladies cardiovasculaires. Ces composants pourraient également affecter plusieurs organes et systèmes, y compris le système nerveux, augmentant ainsi le risque de transmission de maladies par les produits sanguins.

Nécessité de nouvelles mesures de sécurité

En outre, en raison de la difficulté de dépister les structures semblables à des prions et de la longue période de latence des maladies à prions, les méthodes actuelles de dépistage pourraient être insuffisantes. Les chercheurs recommandent des mesures de précaution rigoureuses et la mise en place de nouveaux protocoles de dépistage pour les donneurs de sang afin d’assurer la sécurité des transfusions sanguines.

Compromission de l’immunité et risques supplémentaires

L’étude indique également que les receveurs de vaccins ARNm pourraient avoir une efficacité vaccinale négative, ce qui signifie qu’ils sont plus susceptibles de souffrir d’infections futures. Les dons de sang de ces individus pourraient compromettre l’immunité des receveurs contre les infections courantes. Les risques de caillots sanguins, d’agrégats amyloïdes, d’inflammation chronique et de dysfonctionnement immunitaire sont également mentionnés comme des dangers possibles.

Précautions pour l’avenir

Les chercheurs plaident pour des études supplémentaires sur les structures semblables à des prions présentes dans les protéines de pointe afin d’évaluer les implications des injections d’ARNm. Ils suggèrent également des mesures rigoureuses de manipulation et de transfusion sanguines pour éviter les risques de contamination. En l’absence de méthodes fiables pour purifier les stocks de sang actuels des protéines de pointe ou de l’ARNm, les chercheurs recommandent de jeter tous les produits sanguins contaminés jusqu’à ce que des techniques d’élimination efficaces soient développées.

L’étude japonaise souligne l’importance de « réévaluer la technologie basée sur l’ARNm pseudouridiné avant l’avènement d’autres vaccins génétiques en cours de développement ». « Les blessures sanitaires causées par la vaccination avec des vaccins génétiques ne peuvent être ignorées ; par conséquent, les pays et les organisations concernées devraient prendre des mesures concrètes ensemble pour identifier les risques et les contrôler et les résoudre. »