Ce samedi, un sommet virtuel pour la paix et la sécurité en Ukraine a rassemblé 25 dirigeants sous l’impulsion du Premier ministre britannique et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Keir Starmer. Coprésidé par le Royaume-Uni et la France, cet événement visait à renforcer la coalition des pays soutenant une paix durable en Ukraine. Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d’exercer une pression accrue sur la Russie pour obtenir un cessez-le-feu.
Les alliés de l’Ukraine se sont mobilisés pour préciser les contours d’une stratégie commune. Lors de ce sommet, Emmanuel Macron a déclaré qu’ « la pression doit être claire sur la Russie, en lien avec les États-Unis », soulignant que Moscou ne semble pas prêt à négocier sincèrement.
Un cessez-le-feu d’un mois refusé par Moscou
Le président français a rappelé que la Russie n’avait pas répondu favorablement à la proposition de trêve formulée par l’Ukraine et les États-Unis. « Vladimir Poutine veut tout obtenir avant de négocier », a-t-il affirmé, en dénonçant l’intensification des combats par les forces russes. Macron a salué le courage du président ukrainien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Volodymyr Zelensky, d’avoir pris cette initiative de paix en collaboration avec Donald Trump, insistant sur l’importance d’un soutien militaire durable pour Kiev.
Une stratégie militaire coordonnée
Le chef de l’État a mis en avant les progrès réalisés lors de la réunion du 11 mars à Paris, qui avait rassemblé les chefs d’État-major de plus de 30 nations. Selon lui, « il est maintenant temps de planifier et d’obtenir des retours concrets de chaque pays ». En parallèle, Keir Starmer a annoncé qu’une nouvelle réunion des responsables militaires des pays alliés de Kiev se tiendra ce jeudi au Royaume-Uni afin d’affiner ces stratégies.
Source : Cnews